La question.
Par Alain de Bornay
La vraie « Question », la seule question qu’il faut se poser aujourd’hui en 2014 c’est : « Qui sont ces antisémites et autres blancophobes qui éructent des mort au juifs ou mort aux blancs dans les rues de France ? ».
La réponse : Des bons musulmans, certains de race noire, instrumentalisés par toute une nébuleuse de la haine raciste et antisémite marxiste culturelle de la gauche à la droite politique Française en passant par les médias.
Lisez, et faites lire " La question" !
Amis lecteurs, ci-dessous et
en prime vous trouverez deux liens d’enquêtes connexes à la question :
Le
seul instrument du progrès c’est la tradition et la seule semence de l’avenir
le passé.
La question avant
propos 1/6
Un livre vivant, un document historique pris sur le vif, une analyse sur internet avec des mots dedans et de belles images qui offre la possibilité aux «mis en cause» de répondre et de corriger mon travail en laissant des commentaires directement à la suite du paragraphe les concernant.
Auteur : Alain de Bornay,
historien, écrivain, aristocrate, philatéliste (*1)
et libertarien minarchiste (*2) qui
entretient plusieurs blogs notamment celui-ci : Antisémitisme non merci, le Blog
du Collectif tous ensemble contre le nouvel antisémitisme.
Et celui-là : Michel Alain Labet de Bornay. Et aussi : Libertarien.
Et celui-là : Michel Alain Labet de Bornay. Et aussi : Libertarien.
(*1) Le sanguinaire criminel contre l’humanité communiste Joseph (Iossif) Vissarionovitch Djougachvili plus connu sous le pseudonime de Joseph Staline (Stal en russe signifie : acier) qui a fait assassiner en bolchévie soviétique à partir de 1936 radicalement tous les éléments « socialement » suspects par centaines de milliers, les dékoulakisés appauvris par la collectivisation forcée ( Hommes, femmes et enfants sauvagement exécutés), les vagabonds (SDF et autres roms et tziganes) et autres marginaux engendrés par cette dernière, les anciens membres des « classes » dirigeantes et autres cadres et contremaîtres et leurs enfants, tous les individus entretenant ou ayant entretenu des relations avec l'étranger (corps diplomatique, anciens combattants d'Espagne, agents du Komintern, jusqu'aux espérantistes, aux philatélistes et aux astronomes sans oublier bien sur les juifs !
(*2) Le libertarianisme (ou "libertarisme")
Ici est une philosophie
tendant à favoriser au maximum la liberté
individuelle, que celle-ci soit conçue comme un droit
naturel ou comme le résultat du principe de non-agression. De ce fait,
ses partisans, les libertariens, s'opposent à l'étatisme
en tant que système fondé sur la coercition, au profit d'une coopération libre
et volontaire entre individus. Le parti Français.
Commençons donc par une belle citation de nos jeunes" français de papier:
"Les Français sont tous des fils de putes!"
Les Français sont tous des fils de putes ? Je
ne sais pas, mais certains « militants » de gauche le sont
certainement.
A la suite sur le
territoire français, en Juillet 2014, de véritables pogroms, et de
manifestations de haine anti blancs et antisémite lors des manifestations pour
certaines interdites, mais qui se sont tenues quand même, à Barbès et à
Sarcelles. J’ai décidé dans ce petit
pamphlet que d’aucuns, je n’en doute pas
dirons « libelle », libelle ? Pourquoi pas; d’accord pour
libelle, mais dans le sens petit livre, conformément à son étymologie libellus.
Ce petit livre est fortement inspiré des centaines d’articles que j’ai écrit
sur le net et sur mes blogs depuis 10 ans. Je vais donc ici, nommer, citer,
dénoncer, les antisémites et les racistes Français anti blancs et anti
chrétiens instrumentalisateurs et à la tête de hordes de barbares musulmans et
d’hommes de race noire déjà fondamentalement antisémites. Aujourd’hui, ils visent
les Juifs et les blancs, un jour prochain, ils viseront les Français, et les
coupables seront les mêmes que ceux qui criaient, au nom d’Allah, « Mort
aux Juifs » et des « mort aux blancs » qui ont
aussi retentis dans les rues de Paris et d’ailleurs, tout cela venant de musulmans
antisémites et de noirs racistes instrumentalisés par des « militants »
et dirigeants de gauche marxistes culturels.
Voulez vous un bon exemple
au sujet de cette instrumentalisation des musulmans ?
Le jour où une jeune maghrébine ou une musulmane torchonnées ou burkaquisées se fera violer et torturer, en France, par une bande d’ados bien blancs comme François, Paul et les autres, qui justifieront leur tournante par l’origine arabe ou musulmane de la victime, le pays sera sous le choc : Une des journaux et des JT, éditos « indignés » sur le retour de la « bête immonde », marches de solidarité contre le « racisme », groupes féministes sur tous les fronts, déclarations larme à l’œil de nos sinistres préférés et « unité nationale » contre les prétendus « fachos » et autres racistes.
Quand il s’agit d’une française de race blanche, qui se fait violer par des racistes musulmans, trois frères turcs et un ami marocain, tous mineurs, aucun journaliste n’estime que l’affaire mérite d’être évoquée. Comme quoi, on n’est pas tous égaux devant la lutte antiraciste…
L’affaire s’est déroulée à Évry, un samedi soir. Une jeune fille de race blanche de 18 ans sort du RER, seule. Elle se fait alors agresser par 4 « jeunes », les fameuses chances pour la France (*) qui se jettent sur elle et l’embarquent de force dans un parc désert. Là ils volent tout ce qu’elle possède, avant de la violer à tour de rôle, de la frapper à de nombreuse reprise, de lui uriner dessus et de la laisser pour morte, ensanglantée et nue.
Évidement et comme d’habitude les « jeunes » racailles sont étrangers, mineurs et majoritairement récidivistes : trois frères turcs et un ami marocain (deux ont 13 ans, un 15 et le plus âgé 17). L’aîné est sorti de prison 6 mois plus tôt, sans contrôle, après avoir seulement purgé les deux tiers d’une peine pour …viol ! Et quel viol ! Le viol d’un garçon le fils d’un sous officier de gendarmerie ! Justice Taubira quand tu nous tiens (ou plutôt nous relâche). Deux autres de ces « chances pour la France » ou CPF avaient déjà été interpellées pour vol avec violences. Cerise sur le gâteau de la haine musulmane, lors de leurs interrogatoires, et sur ce que l’on a pu savoir de l’enquête, les petites chances pour la France et la rondelle d’un fils de flic n’auraient pas formulé le moindre remords. Au contraire, ils ont exprimé leur haine : oui, ils n’auraient pas touché la jeune fille si elle avait été turque ; oui, ils l’ont agressée parce qu’elle était française et que « les Français sont tous des fils de pute ». Le juge français qui les a fait incarcérer les a mis en examen pour viol en réunion et barbarie, mais aussi, plus rare, pour racisme.
« Fils de putes » ? Mais ou donc mon zami des petits beurs déprépucés (pas des LU hein !), des mahométans de naissance,,des racailles au QI de mouche à merde ont ils été chercher cela ? A mon avis c’est parce qu’ils regardent trop les médias marxistes culturel, squattés par des bandes de petits gauchiottes lobotomisés propageant des idéologies haineuses marxistes culturelles, tel un Mathieu Madénian un chroniqueur de la télé de merde qui le 26 septembre 2011, lors d’une émission de Morandini sur Direct 8, traitait les électeurs patriotes Français qui votent FN de « fils de pute ».
Allez, encore un deuxième exemple pour la route et les lendemains qui puent l’idéologie raciste islamomarxiste.
En fin 2013, Mohamed Kané 43 ans un noir musulman Malien qui avait tiré sur un gendarme blanc français, à Bamako (Mali), le blessant légèrement, avait déclaré qu'il avait la haine du Blanc. Précisons que, comme chez nous, le mahométan Momo était un récidiviste de la haine raciste qui n’en n'étant pas à sa «première tentative d'assassiner un Européen de race blanche», en 2012, il auvait déjà tenté de poignarder une ressortissante blanche d'un pays européen.
Evidemment vous aurez compris amis lecteurs, qu’au travers de ses deux exemples seulement, il est difficile de se faire une idée de cette instrumentalisation de l’Islam et des musulmans par les marxistes culturels Français. ICI Après avoir lu ce livre j’espère que vous aurez enfin compris que si les musulmans ne sont pas exempts de torts dans cette affaire de nouvel antisémitisme, ils ne supportent pas non plus la totalité de la faute bien au contraire.
Bertrand Russell mathématicien et philosophe britannique avait écrit : « le bolchevisme combine les caractéristiques de la révolution française avec celle de l’essor de l’islam. Marx a enseigné que le communisme était fatalement prédestiné à prendre le pouvoir ; cela engendre un état d’esprit peu différent de celui des premiers successeurs de Muhammad. Parmi les religions, le bolchévisme doit être comparé à l’islam plutôt qu’au christianisme ou au bouddhisme. Le christianisme et le bouddhisme sont avant tout des religions personnelles, avec des doctrines mystiques et un amour de la contemplation. L’islam et le bolchevisme ont une finalité pratique, sociale, matérielle dont le seul but est d’étendre leur domination sur le monde. »
La gauche qui se disait faussement « avant-gardiste » des combats pour l’émancipation des hommes et des femmes, est devenue au fil du temps et par intérêt politique un extraordinaire support de l’islamisation de la France.
Dans les banlieues ex rouges et dans la France entière partout ou elle le peut, cette gauche marxiste a fait une alliance avec les divers courants de l’islam et même avec des groupes islamistes radicaux pour garder le pouvoir politique local.
Mais quels sont les objectifs de cette démarche idiote en apparence ?
Cette démarche, a un objectif clair : s’appuyer sur l’islam pour se maintenir au pouvoir quitte à vendre son âme au plus offrant (Si tant est que des cocos aient une âme), tel est le but recherché par cette gaucherie marxiste culturelle en perte de vitesse et de repères depuis la chute du mur de Berlin et de certaines dictatures marxistes. Elle est capable de s’allier même avec le diable pour garder ses privilèges et par son comportement absurde, elle est en train de saper les fondements de la république, objectif suprême pour la prise du pouvoir.
En instrumentalisant l’islam et en souhaitant de plus en plus d’immigration ou de régularisation de clandestins nos marxistes culturels de gauche pensent remplacer un peuple rétif mais instruit par un peuple importé peu éduqué donc manipulable à souhait. C’est dans ce cadre que s’inscrit l’action contre l’immigration choisie, les marxculs ne tiennent pas à voir arriver des migrants éduqués donc non manipulables. De plus, les gauchistes marxculs ne souhaitent pas voir arriver des migrants ayant la capacité de s’intégrer rapidement ce qui ne permettrait pas d’exploiter leur ressentiment pour les attirer à soi.
En encourageant l’enseignement de l’arabe dans les écoles primaires pour les enfants issus de l’émigration et les autres bien sur, c’est un appel du pied à l’islamisation de la France. Enseigner la langue d’Allah (con ?) équivaut à apprendre le coran, manuel du « djihad » ou les mort aux juifs et les morts aux Chrétiens se lisent à chaque page.
Division et communautarisme, les deux mamelles de la révolution marxiste. Affaiblir les résistances de la société face aux agressions, comme les divisions de la société en attisant les haines internes faciliteront la prise de pouvoir ce qu’ils ne pourraient pas faire par les élections.
Suivant le célèbre aphorisme de Goethe : « Penser est facile, agir est difficile. Agir selon sa pensée est ce qu’il y a au monde de plus difficile.»
Je m’attaque donc à quelque chose de difficile, écrire suivant ma pensée, mais pour un historien libertarien, c’est cela l’honneur.
L’un des rôles de l’historien consiste à briser les tabous. Et cela ne va pas sans risques. On l’a bien vu lorsque fut publié, en 1997, Le livre noir du communisme travail collectif des historiens les plus calés sur le sujet et rassemblant le bilan immonde de l’un des régimes communiste criminel contre l’humanité les plus terribles de l’histoire. Ce livre avait violé un tabou profondément enraciné dans nos sociétés, et qui l’est encore d’ailleurs : celui qui pèse sur les crimes du communisme.
Pour cela, il suffit de
connaître les réactions provoquées par Le
Livre noir. En Allemagne, par exemple, Stéphane Courtois, assurera
pendant cinq jours la promotion du livre. Systématiquement, des gauchistes, des
intellocrates et des abrutiles marxistes culturels manifestèrent haineusement,
provoquèrent du désordre et criaient : « Vive le
communisme ! » Pour que des énergumènes souhaitent vie à un système
qui a massacré une grosse centaine de millions d’innocentes victimes,
continuent aujourd’hui les massacres en Corée du Nord, en Chine, au Viet Nam, à
Cuba, au Zimbabwe etc. etc. et dont les crimes faisaient l’objet de l’ouvrage
ayant causé leur déchaînement de fureur et de haine, il fallait qu’ils
éprouvent le plus profond mépris pour la vie humaine. Et ces gens là se disent
des humanistes ?
Des humanistes ? Non
bien sur ! Mais ils se disent aussi «progressistes» ! Proudhon, un
ancêtre des libertariens qui fut le premier à se qualifier d'anarchiste
disait :"Le communisme, pour subsister, supprime tant de mots,
tant d'idées, tant de faits, que les sujets formés par ses soins n'auront plus
le besoin de parler, de penser, ni d'agir : ce seront des huîtres attachées
côte à côte, sans activité ni sentiment, sur le rocher de la fraternité. Quelle
philosophie intelligente et progressive que le communisme !"…
Il existe de nombreux
livres apologétiques du marxisme, mais point encore assez de livres critiques
de l’idéologie marxiste compréhensible au commun des mortels.
L’exemple de Katyn, qui n’est pourtant qu’une goutte d’eau, un «détail» dans l’océan du sang des dizaines de millions de victimes du communisme, est à mes yeux révélateur. En septembre 1939, après la défaite de la Pologne, envahie simultanément par les Socialistes Nationaux du Parti Socialiste National des Travailleurs Allemands dit plus simplement en argot Berlinois : « nazis », à l'Ouest et par les autres Socialistes (Internationalistes ceux là) dit «communistes» à l'Est, une zone d'occupation de 200 000 kilomètres carrés est (entre autres territoires) octroyée par Hitler à ses amis et alliés communistes soviétiques pour les récompenser de leur aide précieuse.
Dès la défaite polonaise, dans cette zone, les marxistes Soviétiques sur ordre écrit du criminel contre l’humanité Staline, ont massacré plusieurs milliers d'officiers polonais prisonniers de guerre : plus de 4 000 à Katyn (près de Smolensk), lieu où fut découvert ultérieurement le charnier le plus connu, mais aussi environ 21 000 en divers lieux. A ces victimes, il faut ajouter 15 000 prisonniers simples soldats, probablement noyés dans la mer Blanche. Perpétrées en quelques jours selon un plan préétabli, ces tueries en masse de Polonais vaincus, exterminés pour la seule raison qu'ils étaient polonais, constituent d'indiscutables crimes contre l'humanité, et non pas seulement des crimes de guerre, puisque la guerre était terminée en ce qui concerne la Pologne. D'après les conventions de Genève, l'exécution de prisonniers d'une armée régulière, qui ont combattu en uniforme, est un crime contre l'humanité, surtout une fois le conflit terminé.
L'ordre de Moscou était de supprimer toutes les élites polonaises : étudiants, juges, propriétaires terriens, fonctionnaires, ingénieurs, professeurs, avocats et, bien sûr, officiers. Lorsque ces charniers polonais furent découverts, le Kremlin imputa ces crimes aux socialistes nationaux du NSDAP (Parti Socialiste National des Travailleurs Allemands). Une très grande partie de la gauche occidentale s'empressa naturellement de relayer ce gros mensonge. (Chez les communistes, plus le mensonge est gros, mieux ça passe !)
Pendant quarante-cinq ans, affirmer hautement que l'on croyait vraisemblable la culpabilité soviétique vous amenait à être traité comme d’habitude de « fasciste »...Aujourd’hui on dit « facho »… En 1990, grâce à Gorbatchev, le Kremlin, dans un communiqué de l'agence Tass, reconnut sans détours que « Katyn a été un grave crime de l'époque stalinienne ». Attention toutefois à bien remarquer que comme un vrai coco le camarade qui, sentant la mort prochaine et que l’idée de pourrir pour l’éternité dans les flammes de l’enfer rendait un tantinet plus sincère que d’habitude l’amenait à reconnaître des «erreurs» du communisme, celle-ci sont attribuées à Staline et en aucun cas à l’idéologie marxiste qui reste elle blanche comme la neige dans les camps de la mort du Goulag.
En 1992, à la suite d'un début d'inventaire des archives de Moscou, est divulgué un rapport secret de 1959, dû à Chélépine, alors chef du KGB, faisant état de « 21 857 Polonais de l'élite, fusillés en 1939 sur ordre de Staline ».
Les négationnistes marxistes, en particulier en France, ne se repentirent pas, ne firent aucune déclaration et ils continuèrent à propager leur discours de haine nauséabonds.
Bien au contraire, leurs réactions à la publication de livres mettant en parallèle les crimes nazis et communistes démontrèrent leur aveuglement sectaire et fanatique. Qu’on pense à la réception d’ouvrages comme le livre retraçant la correspondance entre Furet et Nolte (Fascisme et communisme, Plon. 1997) au sujet de la proximité idéologique des deux phénomènes totalitaires ou celui d’Alain Besançon (Le malheur du siècle, Fayard) sur le même sujet.
Le plus drôle, c’est que ce parallèle entre Socialisme National ou Nazisme et Socialisme International ou communisme, à été fait par Staline lui même et pas par des anticommunistes primaire et viscéraux comme on traite les écrivains et philosophes qui ce sont penchés avec honnêteté sur le sujet.
L’anecdote rapportée par le fils de Lavrenti Beria le sinistre dirigeant de la police politique (NKVD) d’URSS de décembre 1938 à juin 1953, date de son exécution par le maréchal Joukov sur ordre de Nikita Khrouchtchev est particulièrement rigolote. Serge Beria, dans Beria, mon père chez Plon Critérion – 1999 écrira : « Que la gauche s'abstienne de me traiter de « fasciste » parce que j'établis ce parallèle entre le SS et le tchékiste. Le rapprochement n'est pas de moi : il est de Staline. C'est lui qui appelait Beria «notre Himmler», et c'est en ces termes qu'il le présenta au président américain, Franklin Roosevelt, interloqué par tant de cynisme ».
Cynique « Saint » Joseph Staline ? Celui qui disait que quelques milliers de morts c’était un drame et plusieurs millions une statistique. Mais non, Staline était juste un communiste comme un militant du Front de Gauche ou d’EELV aujourd’hui négationnistes des crimes communistes.
Blogueur impénitent et
obstiné on m’a souvent fait le reproche parce que je dénonce depuis 10 ans
l’idéologie marxiste antisémite sur internet d’écrire « Tout et
n’importe quoi » et particulièrement de confondre l’idéologie marxiste
avec ce qu’aujourd’hui les sectateurs de la nébuleuse de la haine rouge nomme
le « Stalinisme » L’assassin et néanmoins camarade Kroutchev
l’avait dénoncé (Nikita Khrouchtchev entama la déstalinisation en étranglant de
ses propres mains son rival Beria, disciple de Staline et maître du KGB) et les
tovaritchs depuis reconnaissent des « erreurs ». Attention
hein ; des petites erreurs, même pas grosses, des minuscules erreurs, un
léger « détail », ils semblent oublier les neuf millions de
morts de l’holodomor déclaré crime contre l’humanité ICI (9 million de petites
erreurs, sans compter le « détail » des 2 à 3 millions de
juifs exterminés, ça commence à faire beaucoup), il est vrai que ces gens là,
les communistes et affiliés genre militants du MRAP qui distille de la haine
des juifs, se trouvent dans l'incapacité à se détacher de leur groupe d'origine,
à penser le monde en dehors des penseurs patentés et déclaré tels par la
nomenklatura marxiste culturelle , et de fait la sacralisation de leur savoir
de mouches à merde, ils se trouvent dans l'incapacité de s'aventurer en-dehors
des chemin battus par peur d'affaiblir une pensée ou un mouvement, l'incapacité
à se remettre en question.
Et bien non,
mesdemoiselles, mesdames et messieurs, messieurs dames, dames messieurs et
autres genres bizarres, (J’espère n’avoir oublié personne) je ne fais aucune
confusion, si Staline fut un grand criminel contre l’humanité, il n’avait rien
à envier à son prédécesseur Lénine et
quand à ses successeurs, ce furent tous sans exception de grands criminels et
que dire de Mao, de Kim il Sung, de Castro, de Chavez l’antisémite, de Robert Mugabe
dit «Talibob»,( Fameux « président élu
démocratiquement à vie » du Zimbabwe (Republic
of Zimbabwe)
qui se dit en 2014: « marxiste-léniniste-maoïste » un
bien « brave » homme, marxiste comme un militant du MRAP, en lutte
permanente contre l'homosexualité, traitant les pauvres gays noirs de « porcs »
ou de « chiens », et appelant la population à les dénoncer et
les livrer à la police et appelant à « castrer les homosexuels »,
ou à les décapiter ; le « beau » et très communiste
Robert Mugabe fleuron du «progressisme»,
ami de l'Afrique du Sud, de la Chine communiste, de la Corée du Nord, de Cuba
et de la mouvance Nord-sud, du Forum social, qui
lors de sa rencontre avec Jacques Chirac ( ancien vendeur de l’huma dimanche)
en Février 2002,dira sans honte :«Je suis encore un Hitler ».
Il en a même rajouté en disant : « laissez-moi
être Hitler dix fois, si c'est ce que nous défendons». Robert Mugabe
ex « Comrade Bob » comme tout bon marxiste génocidaire est
aussi un raciste antiblanc violent, mais aussi comme bon communiste un
antisémite et un misogyne. Depuis qu'il est au pouvoir, ce pays autrefois riche
a sombré dans la pauvreté socialiste. Il est avec sa famille, ses amis, ses
camardes et autres apparatchiks du régime communiste et l'armée qui soutient le
régime rouge les seuls « riches » du pays.
Nous venons de voir qu’au
fil du temps, la dimension génocidaire et criminelle des régimes communistes
dans le monde reste partout la même. Le tovaritch Robert Gabriel Mugabe avec
l’aide de son KGB local, la cinquième brigade, formée par l'armée communiste
nord-coréenne et un certain nombre « d'agents » et commissaires
politique marxistes nord-coréens servant avec elle, avait entre 1982 et 1986 commencé par éliminer 500
« dissidents » partisans de son rival, Joshua Nkomo (Espèce de
Trotsky africain). Comme dans tout bon régime collectiviste qui se
« respecte », cela c’est vite transformé en quelque chose de
bien pire. La cinquième brigade, comme le
gouvernement et l'administration marxiste du camarade président Mugabe, était
surtout d’ethnie Shona, le Matabeleland est
peuplé principalement par des Ndebele, les descendants des Zoulous qui sont
venus dans la région dans les années 1830. Et pendant deux ans, des escadrons de la mort rouge
écument des villages, torturent et assassinent ceux qui ont le tort de ne pas
soutenir le parti de Mugabe, environ 30 000 Ndébélé (l’ethnie
minoritaire) y trouverons la mort. Autant
que Fidel Castro et son goulag tropical ; mais beaucoup plus que Pinochet
qui s’était arrêté à quelques 1500 exécution de rebelles et criminels marxistes.
Comrade Bob,
criminel contre l’humanité communiste ( encore un, mais cette fois au 21ème
siècle), véritable Staline sub Sahélien était un des derniers bons copains de
Georges Marchais du PCF, de feu le socialiste Mitterrand et de son épouse Danielle,il
est encore au pouvoir en Afrique. Talibob, un «marxiste-léniniste-maoïste»
(Tout un programme) président de l’ex Rhodésie devenu le Zimbabwe, tyran
assassin, dictateur rouge sanguinaire qui avec un régime raciste et communiste
à précipité dans la ruine et la violence un pays qui était un des plus prospère
d’Afrique.
Tout cela
n'empêche pas l'Internationale socialiste de continuer à soutenir Mugabe avec
les fameux «progressistes» de gauche ! Après avoir soutenu Lénine et
Staline, Mao et Pol Pot, normal de continuer à soutenir les «amis» des «peuples»
!
Depuis qu’il a
viré les blancs en les massacrants sauvagement, le pays a plongé dans la misère
la plus noire (sans jeu de mots) et l’espérance de vie a chuté à… 37 ans.
Le beau régime «marxiste»
du roi nègre Robert est pointé du doigt par la collectivité internationale et
par des organisations telles qu'Amnesty International, (Et là, il faut en faire
pour que ces «gens» là, bougent leur gros cul de marxistes
culturels) pour « atteintes massives » aux droits de l'homme,
à la liberté d'opinion et à la liberté de la presse. J’aime bien les citations,
alors je ne résiste pas à vous en donner une bonne du «camarade» Bébert :
En mars 2003, il déclarait « Hitler avait un seul objectif : la
justice pour son peuple, la souveraineté pour son peuple, la reconnaissance de
l'indépendance de son peuple et ses droits sur ses ressources. Si cela c'est
Hitler, laissez-moi être le décuple de Hitler (If that is Hitler, then let me
be a Hitler tenfold. That is what we stand for.). Quand je vous dis que
l’amitié entre les «peuples» c’est beau comme Mein Kampf ! (Bonjour
à mes «amis» antisémites du MRAP !).),
sans oublier bien sur le cas d’Ho Chi Min, du criminel raciste
antisémite et homophobe Che Guevara, sans oubliez aussi les «Français» les
fameux sans sang sur les mains, comme les Duclos, Thorez et autres
collaborateurs de l’Allemagne Socialiste Nationale. 150 000 000
Millions de morts à cause de l’idéologie marxiste de ses sinistres criminels
contre l’humanité.
La juste assimilation des crimes Socialistes Nationaux aux crimes communistes (Un socialisme aussi, mais internationaliste) est encore trop souvent un sujet tabou en France : il appartient aux amis de la vérité et de la liberté comme les libertariens de se battre en permanence pour lever ce tabou. C’est pour cela qu’il faut combattre le négationnisme pro-communiste beaucoup plus hypocrite, plus efficace et plus diffus que le négationnisme pro-nazi,venant souvent de communistes comme par exemple Roger Garaudy un communiste antisémite virulent converti à l’Islam.
Charles Jeantelot, ancien ambassadeur, vice-président de l'Amicale 113, du bureau national de l'ANAPI, écrira dans le Figaro du 18/09/1998 : « D'éminents juristes et auteurs universitaires avaient déjà alerté l'opinion sur le « touche pas à mon communisme », idéologie délétère qu'aucun procès ne peut effleurer ».
Monsieur l’ambassadeur de France s’insurgeait sur ce que la 11e chambre de la cour d'appel de Paris n'avait pas jugé « recevable » la plainte en dénonciation déposée (en 1995) par le sergent Sobanski et l'ANAPI, contre (Le communiste) Georges Boudarel. L'arrêt du 9 septembre s'inscrit dans le droit-fil de la ligne établie il y a sept ans et demi par le ministère public : aucun grief n'est « recevable » contre l'adjoint du chef du camp 113, en 1953, au Tonkin (70% de morts soit plus de 200). En 1991, devant un bilan pareil, dans les persécutions abominables du lavage de cerveau, le parquet avait aussitôt requis de « non informer » sur une plainte gravissime en crime contre l'humanité (ceci à l'encontre du juge d'instruction qui entendait ouvrir l'enquête). La cour d'appel (20 décembre) puis la Cour de cassation (1er avril 1993) confirmait que les agissements dénoncés n'étaient pas « recevables », sous l'empire de la loi d'amnistie du 18 juin 1966 et l'action publique était déclarée éteinte. Dès janvier 1992, Boudarel avait mis cet avantage à profit pour intenter une action en « dénonciation calomnieuse » contre les rescapés de son propre mouroir de Lang Kieu, qui seraient mis en examen jusqu'au non-lieu du 12 janvier 1996. Attaquant à leur tour par une plainte reconventionnelle, ces derniers ont été déboutés par la 17e chambre correctionnelle, jugeant celle-ci non « recevable ».
C'est devant les rescapés des camps et autres anciens combattants - titulaires des plus prestigieuses distinctions de la République et marqués des plus graves infirmités – qu’Antoine Comte un vieil avocat stalinien le défenseur du communiste Boudarel a exprimé, en audience publique le 17 juin 1998, qu'il percevait quelque chose de « nauséabond ». Assurément, cet « avocat » se trompait de procès, de temps, de lieu et d'humanité, conforté par tant d'ukases contre la « recevabilité » de la vérité et de l'honneur, dans une affaire engagée pour « le franc symbolique ».
Jean-Jacques Beucler, ancien secrétaire d'Etat aux Anciens combattants en 1977 et 1978, au colloque organisé par le Sénat sur le Vietnam ou toute la vieille garde du nidoreux communisme révolutionnaire s’était mobilisé écrira : « La mise en lumière du passé de l'un des leurs (G. Boudarel) fait tout à coup apparaître que « la cause des peuples » a eu, elle aussi, ses tortionnaires, et qu'elle a été servie par des procédés qui n'ont rien à envier à ceux du nazisme ».
Rappelez vous toujours,
les paroles de mon camarade de combat, le très grand Français de confession
Israélite le colonel Eric Weinberger, ancien déporté à Buchenwald et prisonnier
après cette sinistre bataille de Diên Biên Phû contre des pourritures
nauséabondes communistes du Vietminh criminels contre l’humanité qui disait:
« J’ai eu
l’occasion de comparer les méthodes des Nazis et des communistes Viêts. Juifs,
Tziganes, Résistants de tous bords, s’ils nous réduisaient en une
sous-humanité, les nazis ne cherchaient pas à nous convertir. Par la faim, les
privations, les communistes Viêts nous amenaient au même état que les nazis,
mais ils exigeaient en plus que nous adhérions à leur système, en reniant
toutes nos valeurs, notre foi en la justice, en notre pays. »
Rappelez vous que les
socialistes d’aujourd’hui et notamment avec la visite de Laurent Fabius à Hanoi
en août 2013, restent toujours les mêmes que du temps de Diên Biên Phû.
La question à suivre………