A cette liste française, de la haine rouge il faut rajouter celle de la tragédie espagnole. C’est le drame terrible et sanglant de la révolution ouvrière et paysanne assiégée de l’extérieur et de l’intérieur ; la révolution tuée de l’intérieur par le Guépéou et ses agents espagnols. Les «communistes», en Espagne, ajouteront une longue liste de crimes, plus crapuleux et cyniques les uns que les autres.
Andreu Nin, ancien dirigeant du Profintern (l’internationale syndicale rouge), militant anarcho-syndicaliste venu au marxisme, fondateur et dirigeant du Parti communiste espagnol, dirigeant du parti ouvrier d’unification marxiste (le POUM), kidnappé, enfermé dans une des prisons privées ouvertes par les hommes de Staline sur le territoire de la république espagnole.
Nin sera torturé, pour qu’il avoue des crimes imaginaires destinés à le déconsidérer ainsi que son parti. Ses kidnappeurs l’assassineront, sans avoir pu lui faire reconnaître ses crimes imaginaires. Nin sera ensuite calomnié dans tous les pays où le stalinisme (les « communistes » selon Mélenchon) sera à l’œuvre. Il sera diffamé par ses assassins et leurs compagnons de route. Ces derniers préfiguraient nos actuels hommes des médias et des « associations » de type MRAP ou LDH financées par l’État et soumis au dogme de «l’antiracisme réel».
Que dire aussi des assassinats judiciaires de Prague, Budapest, Bucarest, des anciens cadres du Komintern ayant combattu dans les brigades internationales, témoins des crimes perpétrés contre le mouvement ouvrier espagnol par l’appareil de Moscou. Pour beaucoup d’entre eux, ils seront doublement coupables : coupables d’avoir assisté à la trahison espagnole, coupables aussi parce que Juifs ayant une sympathie réelle ou supposée pour la restauration de l’État national du peuple juif (sur un fragment de son territoire historique).
Pendant la guerre civile Espagne, à
partir de 1936, le Komintern avait nommé le Moscoutaire membre et dirigeant de
la SFIC ou PCF Français André Marty inspecteur général des immondes Brigades internationales. Marty, sera
surnommé le « boucher d'Albacete », il fut notamment chargé
d'éliminer physiquement les trotskistes, nombres
de trotskistes étaient à cette époque juifs à commencer par Trotsky lui-même (Lev
Davidovitch Bronstein) et son compère bolchévique et assassin Grigori
Zinoviev . Le témoignage de Sygmunt Stein, un
communiste polonais, membre des Brigades Internationales et de confession
judaïque dans son livre écrit en yiddish dans les années 1950 et parus dans une
traduction française de Marina Alexeevna-Antipov en 2012 est capital. Tout ce
qu’il croyait combattre dans le fascisme (Forme nationaliste du socialisme), à
commencer par l’antisémitisme, il le retrouve dans son propre camp le camp
communiste, le camps de la haine, cette haine antisémite qui sévit encore
aujourd’hui au sein de ce « parti » dont de nombreux militants sont
condamnés pour incitation à la haine raciale antisémite, dont des militants du
MRAP, mouvement qui distille de la haine des juifs ! La déception est à la
mesure de l’espoir qui l’avait mené en Espagne : immense. Affecté par la suite
à la compagnie juive Botwin, il sera envoyé au front pour servir de chair à
canon.
Des exécutions arbitraires du « boucher d’Albacete », André Marty, aux banquets orgiaques des commissaires politiques, en passant par les impostures de la propagande soviétique, Sygmunt Stein dénonce violemment dans son livre la légende « dorée » des Brigades internationales assassines. Voir ici
Des exécutions arbitraires du « boucher d’Albacete », André Marty, aux banquets orgiaques des commissaires politiques, en passant par les impostures de la propagande soviétique, Sygmunt Stein dénonce violemment dans son livre la légende « dorée » des Brigades internationales assassines. Voir ici
Hemingway fait un portrait très peu flatteur du
bouché d’Albacete Marty dans Pour qui sonne le glas, où il apparaît sous
le nom d'André Massart.
Madame Parmentier et monsieur Mélenchon
deux « communistes » déclarés et revendiqués, sont de bien
tristes personnages ; des ignares pontifiants, ou alors, ce sont des
bougres de menteurs.Les « communistes » d’aujourd’hui se disent propriétaire de la « classe » ouvrière.
C’est un véritable désastre qui laisse les quelques ouvriers de 2014 qui restent sans représentation politique, les mettant partout, sous prétexte « d’antiracisme », à la remorque du fascisme religieux qui, en 1980-81, a écrasé la révolution ouvrière et paysanne en Iran ; faillite politique et morale qui place l’ouvrier à la remorque des Frères musulmans comme en Égypte si ce n’est en France, à Gaza et ailleurs, au nom de la détestation d’Israël, au nom d’une « révolution palestinienne » imaginaire, impliquant la destruction totale des droits nationaux et du mouvement national Juif deux fois millénaires.
C’est ainsi que ceux qui « n’ont pas de sang sur les mains » ont pour parti frère le mouvement terroriste FPLP le Front « Populaire » de Libération de la Palestine, création des anciens services spéciaux soviétiques, tous des « militants » fiers d’avoir assassiné à plusieurs reprises des écoliers pendant qu’ils allaient ou revenaient de l’école, toujours fiers de ces actions de « résistance » par lesquelles des familles juives furent égorgées dans leur sommeil, que des travailleurs Juifs et non juifs furent mitraillés ou explosés en attendant leur autobus, que des familles entières furent assassinées pendant qu’elles fêtaient un mariage. Tous ces hommes, ces femmes et ces enfants étaient autant d’objectifs militaires légitimes pour les deux partis frères en comptant le FDLP des « communistes » de « madame » Parmentier et de « monsieur » Mélenchon.
Pas de sang sur les mains, qu’il a dit, notre bon Mélenchon ? Pas raciste, pas antisémite qu’elle a dit madame Parmentier ? J’espère qu’après avoir lu ce livre ils iront se laver la bave rouge qui leur coule du mufle !
Alain Finkielkraut a justement déclaré : Les juifs « sont tellement habitués, on leur a tellement enseigné que l'antisémitisme relevait du nationalisme, qu'ils ont les yeux rivés sur la France et ses mauvais démons, sur l'Etat français. Le problème ne se pose plus dans ces termes. La France et les Juifs curieusement, à la surprise générale et des Juifs eux-mêmes, sont dans le même bateau. Nous avons à défendre l'un et l'autre de la même manière, parce que la même infamie, la même calomnie est à l'oeuvre dans un cas et dans l'autre. (…) Il faut surtout ne pas se laisser intimider par ce discours qui est mensonger de part en part, et qui a, tirons-en toutes les conséquences aujourd'hui, une double cible : juive et française. »
Que la France en 2013 compte quelques excités ou hystériques genre Parmentier ou Mélenchon, ce n’est guère étonnant. Ce qui l’est plus, c’est que presque 4 millions d’électeurs votent en faveur de Mélenchon et du communisme, mais ils ignorent que le communisme c’est la pire barbarie qu’ait connue l’humanité, aussi bien par son étendue que par ses crimes. Après la lecture de ce livre, ils ne pourront plus dire : « Je ne savais pas ».
Le communisme d’ici là continuera à bien ce porter. Par exemple en Corée du Nord où l’on peut voir (p. 20 du « Monde » du 19 avril 2012) ce qu’est la torture généralisée, comme en témoigne le martyre subi par le jeune Shim Dong Hyuk : « Ses reins portent les cicatrices de la torture par le feu. La peau de son pubis révèle les stigmates du crochet par lequel un garde le maintenait au-dessus du brasier… » Ayant été dénoncée sous la torture par son fils, la mère de Shim a été pendue. En Chine, qui fait l’objet de l’admiration de bon nombre de Français, les mêmes traitements sont infligés dans de nombreux « camps de travail » les Laogais. Et, dans la Russie d’aujourd’hui que dirige un ex lieutenant-colonel du KGB (la Gestapo russe), il n’est pas recommandé d’aller vérifier ce qu’il en est en ce domaine.
Ce que je veux dire, c’est qu’il est stupéfiant que, depuis 70 ans, les champions proclamés de la démocratie et des droits de l’homme qui gouvernent la France, se soient, en fait, montré les complices des monstrueux crimes contre l’humanité commis par la barbarie communiste.
La vérité m’oblige à rappeler que le général De Gaulle avait comme bras droit en 1944 le déserteur Maurice Thorez, chef du Parti communiste français, le plus inféodé à Moscou ; que Mitterrand, en 1981, avait 4 ministres staliniens ; que son épouse légitime témoignait de son admiration à Fidel Castro, au point d’inviter « Fidel » chez elle, rue de Bièvres à Paris ; que Jacques Chirac distribuait « L’Humanité » lorsqu’il était étudiant et déclarait récemment qu’il ne reniait rien de sa jeunesse en faisant le lieutenant-colonel du KGB Poutine grand-croix de la Légion d’Honneur.
François Hollande lui, a déclaré : « Il y a une culture communiste en France et je veux, ici même, lui rendre hommage. »
De façon générale, les politiciens (Ceux qui font « profession de la politique » sont tous pourris jusqu’à la moelle) français et autres « personnalités » de gauche, complices de crimes contre l’humanité, n’ont aucun souci à se faire.
La législation française ne considère comme « crime contre l’humanité » que les crimes commis par les puissances de l’Axe pendant la Seconde Guerre mondiale. Il faut que cela change ! Soutenez le projet de loi qui rendra imprescriptible les crimes contre l’humanité communistes.
Car continuer à s’interroger sur le goulag et les exécutions de masse pratiquées dans les pays communistes reste un blasphème. Le camarade Mélenchon qui, selon, les critères de François Hollande, est un riche (ce qui est assez piquant, vous en conviendrez), peut encore et encore nous l’avons vu, nous promettre les « charmes » de la dictature du prolétariat.
Tout ceci est malheureusement conforme au fond de la mentalité marxiste culturelle négationniste de beaucoup dans notre pays qui veulent le nivellement par le bas, la spoliation des honnêtes gens et, en réalité, la misère pour tous. Sauf pour eux, cela va sans dire !
Mais il n’est pas « politiquement correct » de le dire.
Le politiquement correct est une arme de guerre idéologique dirigée contre la culture occidentale qui a une très longue histoire remontant aux années 20 et qui s’appelle en fait marxisme culturel, un véritable terrorisme insidieux.
Avant la révolution d’octobre, les communistes pensaient qu’il suffirait que le communisme s’installe dans un pays pour qu’immédiatement les «travailleurs» du reste du monde ouvrent les «yeux» et deviennent adeptes de leur idéologie. D’un autre côté, avant la première guerre mondiale, ils pensaient aussi, qu’une telle guerre affaiblirait suffisamment les régimes «bourgeois» pour libérer les forces révolutionnaires. Enfin, en dépit de campagnes de propagande virulentes et incessantes, ils n’arrivaient pas à augmenter significativement le nombre de leurs adeptes. Au lieu d’en conclure que les gens ne voulaient pas du communisme, car cette idéologie ne leur paraissait pas crédible à juste raison, ils en ont conclu que les gens rejetaient le communisme car leur identité culturelle était fondamentalement hostile au communisme.
Cette réaction communiste peut paraître surprenante de prime abord, car on pourrait penser qu’ils auraient dû tirer la conclusion que leur idéologie n’était pas valable, mais il n’en est rien, car demander à un communiste d’être honnête, c’est comme de demander à un fanatique catholique de cracher sur la croix.
La pensée communiste est définie par deux caractéristiques principales, d’une part, la conviction de représenter le « Bien Absolu » et d’autre part, la certitude qu’un complot est organisé de manière permanente contre les «opprimés» ou ceux qu’il nomment ainsi afin de les empêcher de se révolter contre le système. En fait c’est une caractéristique de l’éthique judéo chrétienne classique : la lutte du bien contre les forces obscures du mal. C’est pourquoi les néo communistes d’Attac, de la LDH, de la LCR, du Mrap et autres groupuscules parasites sociaux et terroristes ont besoin d’opprimés en permanence, pour justifier de leur existence même. Chez nous, des damnés de la terre, ils n’y en à plus depuis longtemps, mais des populations d’immigrés les ont remplacé à la grande joie des néo cocos, mais cette foi pas de chance ça ne fonctionne toujours pas, car ces fameux sous prolétaires sont en majorité mahométistes et pour convertir un musulman à une autre idéologie, il faut ce lever de bonne heure et le grand soir de la révolution va ce perdre dans les matins radieux de l’appel des muezzins comme arrivé en Algérie, en Egypte, et en Tunisie.
Sur ce dernier point, la lutte du bien contre le mal ils n’avaient pas tout à fait tort. De fait, sous l’ancien régime, les deux composantes du pouvoir, la monarchie et l’église, ont constamment dispensé une propagande visant à légitimer le régime et ont instauré un système d’«éducation» des « masses » qui sont comme chacun sait essentiellement « populaires et laborieuses » visant à maintenir leur emprise sur le peuple. Ce système et cette éthique hétéronome judéo chrétienne a d’ailleurs eu des effets dévastateurs en Europe puisqu’il est largement responsable de la folie idéologique qui s’en est emparée depuis la Révolution française. On oublie souvent qu’Hitler est né en Autriche, pays catholique de contre-réforme.
La contre-réforme est une idéologie développée conjointement par la monarchie et l’Église espagnole qui visait à s’opposer à la propagation du protestantisme en formant des esprits rigides, dogmatiques, intolérants, fermés au débat, dénués d’esprit critique, manichéens et remplis de certitudes. Cette idéologie favorise le développement d’un extrémisme et d’une radicalité qui ne demandent qu’à s’exprimer dès lors que les individus ne sont plus encadrés. C’est ce qui s’est produit pendant la Révolution française et lorsque la « démocratie capitaliste » a détruit l’autoritarisme ancien.
En passant, le contre réformisme est responsable du fait que les innovations ayant menées au monde moderne soient apparues dans le monde protestant en particulier anglo-saxon ce qui a entraîné le long déclin de l’Europe du Sud, restée catholique, qui jusque là, dominait culturellement et économiquement une Europe du Nord pauvre.
Malheureusement, le fait d’avoir très partiellement et très momentanément raison a empêché les marxistes de prendre conscience que leur idéologie était aussi rejetée car erronée. Elle les a surtout empêché de réaliser que le meilleur outil de lutte contre cet obscurantisme n’était pas le marxisme mais le libertarianisme anarcho capitaliste. Au contraire, ils en ont tiré la conclusion qu’il convenait de détruire la culture occidentale pour la remplacer par des valeurs «marxistes». Ils ont baptisé cette «doctrine» marxisme culturel.
Le jeudi 25 août 2011 je publiais sur la toile cet article : Marxisme culturel ? Quèsaco ? Voir ici
Sur le Blog extraordinaire dit; Comité de salut Public. (CSP, tout un programme) Un des blocs très beaux de Thierry, cadre du NPA (Dégoûté le beau Thierry, a depuis fermé ce blog) blog sur lequel j’avais pris la Liberté (Vive la liberté !!!) de laisser un commentaire ou je laissait entendre que sa doctrine était : « marxiste culturelle ». ICI :
« Bonjour cher monsieur CSP,
J'ai pris la "liberté" de commenter sur mon blog votre remarquable article du 18 Août.
Je suis un libertarien minarchiste c'est à dire un véritable anarchiste "Ni banques, ni Soviet" Je partage les idées de Garnier, anarchiste illégaliste ayant fait partie de la fameuse "Bande à Bonnot" au début du XXème siècle. Qui disait: ""tous ces messieurs n’étaient autres que des profiteurs et arrivistes qui criaient révolte partout, qu’il fallait détruire le capitaliste et autre, mais pourquoi. Je compris qu’ils voulaient détruire l’état social actuel, tout simplement pour s’installer, eux, à la place, remplacer la République par le syndicat, c’est-à-dire éliminer un état pour le remplacer par un autre dans lequel il y a des lois et toute la même engeance sociale actuelle, en somme ne changer que le nom pour arriver à cela."
Quelle vision n'est ce pas?
Bien à vous.
Michel Labet »
En réponse à ce commentaire sur ce blog dont l’auteur se qualifiait lui-même de « Fasciste rouge » et ou s’exprimaient de joyeux commentateurs salement vulgaires, qui m’ont traité de façon haineuse de « taré insignifiant, de Michel Étron de Moncul, qui considèrent que je ne suis pas un seul homme, mais un seul trou du cul atteint de diarrhée verbale irrépressible et qui trouvent pour certain que c'est presque beau tant de connerie chez un seul homme qui se prend pour un jeddi (sic) de sous-préfecture » C’est beau comme du vers l’aine. Je n'ai jamais répondu aux injures grossières, les injures prouvent toujours que ceux qui les disent manquent cruellement d’arguments, et jamais ceux à qui elles sont dites. (Nonobstant sur ce blog, les commentaires étant totalement libre …. Défoulez vous les cocos !).
Même pas à celles plus récentes de : « fafounesquelibertaré, vieux réac d'extrême droite, crétin des Alpes » (J’habite Cogolin, alors il faut dire crétin de Méditerranée !), « monomaniaque » (Là c’est assez juste, je suis effectivement dominé par une idée fixe expliquer le sida mental qu’est le marxisme culturel,( Une définition succincte est donnée par wikipédia:) mais je pense que le commentateur anonyme à voulu dire que j’étais quelqu’un qui avait des habitudes agaçantes pour l'entourage. Hé oui je sais, je suis agaçant, mais c’est voulu.) De plus comme d’habitude, traité de « malade mental » (Toujours ce goulag psychiatrique qui pointe son nez rouge de haine, décidemment, c’est là aussi une idée fixe !).
Une dénommée « Math » joli pseudo d’enseignante lobotomisée (et pas sodomisée hein ! Quoi que l’un n’empêche (à la ligne) pas l’autre) à écrit : « (…) je suis allée jeter un œil (Comme Le Pen, elle n’a qu’un œil l’enfeignante) aux écrits du monsieur avec plein de noms de famille... (Non non, madame, un seul nom de famille : Labet, le reste n’est que le nom de terres nobles que notre illustre famille a possédées, la prochaine fois appelez moi monsieur le baron. En effet mon nom complet est Michel Alain Labet, Baron de Laval, sieur de Bornay, Saint Maur, Courbette et autres terres) et une question me taraude... (Hé ben ; une question la tourmente de manière lancinante au point de la faire souffrir vivement, m’étonne plus de rien moi venant des marxistes !) Qu’est-ce qu'ils ont tous ( ?) avec cette histoire de "marxisme culturel"?? Je ne comprends absolument pas de quoi il s'agit. J'ai lu peut-être pas tout mais une majeure partie des œuvres (sic) de Marx, j'ai étudié le marxisme, je l'enseigne aussi... mais alors ce trip (resic ?) (En tout cas ce n’est pas le Français que vous enseignez !) D’associer Marx à quoi? La "décadence"? Dans la plus pure tradition des ligues d'extrême droite? Ça m'échappe complètement.
M'enfin, je suis pas sûre d'avoir envie d'aller y fouiller plus avant, à bien y réfléchir. »
Je lui aurait bien dit d’aller ce faire « tarauder » chez les grecs, mais bien que l’on ne puisse faire boire un âne ou une ânesse qui n’a pas soif, m’enfin « Gaston », je vais lui expliquer tout bien tout bien en bonne francesse, ce que de quoi que j’cause et ce que à quoi que je pense ( Donc j’essuie) au sujet du marxisme culturel, (Nom de Dieu de pompe à cul d’opium des peuples, faut se mettre à niveau des collectivistes enfeignants Das Kapital, qu’ils n’ont pas lu et dont Marx n’a écrit qu’un tiers, le reste étant d’Engels !) si ça lui fait pas de bien, à peu pas lui faire de mal vingt guieu, un peu de culture et ne sortez pas votre revolver madame ! Et puis bon, il faut abréger votre souffrance, on achève bien les chevaux ! Et puis ce livre s’appelle « La Question », avec un grand Q, alors, hein je suis là pour répondre aux ignorants/es, surtout celles au petit Q (QI évidemment) ! À suivre …
La question à suivre………
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