vendredi 5 septembre 2014

La question.3.




Association pour la Taxation des Transactions et pour l’Aide aux Citoyens (ATTAC) 



Association satellite du PCF.

ATTAC le site

Attac se définit comme une organisation internationale impliquée dans le mouvement altermondialiste (Les alter machin ne sont pas des anti mondialistes comme par exemple les libertariens mais des marxistes ou des socialistes partisans d'une autre mondialisation collectiviste et marxiste). qui combat la mondialisation libérale et qui travaille à des alternatives sociales, écologiques et démocratiques afin de garantir les droits fondamentaux pour tous.

Décodage :
Attac est une association marxiste culturelle (*1) communiste internationaliste qui promeut le collectivisme socialiste et le totalitarisme antisémite.
ATTAC sur wikipedia.org

Le MRAP (Mouvement Raciste Antisémite et Populaire) l’organisation communiste de « masse » marxiste culturelle qui distille de la haine des juifs en est membre fondateur. Voir ici : Il faut dissoudre le MRAP
(*1) Le « Marxisme Culturel » (   Voir ici et surtout là), n’est pas une mode ou une convenance, mais bien une idéologie, également connue sous le nom de  “politiquement correct”, autre approche du Marxisme, mise au point par des Marxistes, en vue de détruire la civilisation occidentale, en instituant la tyrannie des minorités - raciales, culturelles, sexuelles, religieuses - sur la majorité traditionnelle.
La lutte contre l’ « mondialisation libérale » qui a remplacé « l’impérialisme américain » vise à détruire le pays qui est devenu le centre idéologique et le bras armé de l’occident. À noter qu’en France, les marxistes culturels exploitent le ressentiment et la jalousie des élites françaises par rapport aux succès du monde anglo-saxon qu’elles sont incapables d’égaler entre autres, à cause de leur incapacité à combattre le marxisme culturel. La lutte pour les « droits de l’homme » vise à paralyser et à discréditer la démocratie en exploitant au maximum les ressources offertes par le droit. La liste de ces « luttes » n’est pas exhaustive et mériterait d’être étudiée plus en détail mais elles visent toutes les mêmes objectifs :
• Détruire les valeurs honnies,
• Affaiblir le « capitalisme »,
• Affaiblir la démocratie libérale,
• Affaiblir les résistances de la société face aux agressions afin de faciliter la prise de pouvoir,
• Diviser la société en attisant les haines internes afin de faciliter la prise du pouvoir ce qu’ils ne pourraient pas faire par les élections,
• Détruire l’individualisme qui permet la résistance,
• Instaurer le pessimisme afin de faire prévaloir la résignation,
• Essayer de dominer en culpabilisant,
• Détruire l’esprit critique.
 
Association pour les Jumelages entre les camps de réfugiés Palestiniens et les villes Françaises (AJPF)
Association satellite du PCF.
Le site ici.
Créé par des militants communistes, notamment dès 1989 par le feu militant communiste et Cégétiste Fernand Tuil (élevé par une grand-mère communiste, adhérant au parti communiste à 13 ans a fait les « écoles » de la haine du Parti) il fut à l'origine et sous les ordres du PCF de la création de l'Association France Palestine et du premier jumelage d'une ville française, Montataire, avec le village « palestiniens » de Dheisheh, en Cisjordanie.

L’AJPF est une Association marxiste antisémite « financée » par la richissime CCAS (Caisse centrale des activités sociales) d'EDF-GDF. Son budget ? : 400 millions d’euros, prélevés à hauteur de 1% sur les ventes de gaz et d’électricité c'est-à-dire que ce sont quasiment tous les Français abonnés au gaz et à l’électricité qui financent ainsi l’antisémitisme virulent du communisme international !

Le 2 juin 2014 se déroulait au Tribunal correctionnel de Paris, un procès exemplaire : celui du financement, dans les années 1994-2002, de la CGT et du Parti communiste par la Caisse centrale d’activités sociales d’EDF-GDF, – son comité d’entreprise – plus connu sous le sigle CCAS.  Sur le banc des prévenus, des militants cégétistes ou communistes. Parmi ceux-ci, Jean Lavielle ex-président de la CCAS (1997-2002), Brigitte Gonthier-Maurin, dirigeante du PC, sénatrice des Hauts-de-Seine depuis 2007, ou Alain Peuch, ancien directeur exécutif à la CCAS. Y figuraient également des personnes morales, comme la société éditrice de L’Humanité représentée par Patrick Le Hyaric, ancien directeur du quotidien communiste, la CGT ou la fédération  CGT de l’ Energie…La suite ICI.... !
Leur écrire : contact@ajpf.fr

Pendant que nous y sommes parlons un peu d’EDF, la « vache à lait » des communistes.

Le 1er avril 2002, un polytechnicien et militant CGT, Jean-Claude Laroche, est nommé directeur de la Caisse Centrale d'Activités Sociales (CCAS) de EDF. Cette institution, dirigée dans la plus grande opacité par la CGT depuis sa création par un ministre communiste en 1946, s'octroie 1 % du chiffre d'affaire de EDF, c'est à dire de notre facture de client. La CCAS dispose ainsi chaque année de 400 millions d'euros : 70 % financent le CE, 30 % la mutuelle du groupe. Cette manne n'avait jamais été remise en question ni contrôlée depuis l'origine.

Mais voilà que Jean-Claude Laroche, au lieu de jouer au bon petit soldat obéissant, décide de se pencher réellement sur la gestion du CE afin de servir au mieux les intérêts des 167.000 salariés de EDF. Il découvre avec stupéfaction les graves réserves émises par les commissaires aux comptes chaque année sur les comptes de la CCAS. Il constate aussi qu'une bonne part des 4.000 permanents travaille ailleurs (à la CGT et au PCF), qu'un grand nombre de contrats sont signés avec de petites entreprises opaques, apparemment très chères (parfois le double de la concurrence) et jamais mises en concurrence. Mais il se rend compte de son impuissance et l'explique dans une lettre envoyée à tout le personnel de EDF lorsqu'il est démis brutalement en décembre de la même année par la majorité CGT (10 sur 18) qui siège au conseil d'administration : "... je me suis aperçu que les différentes prérogatives correspondant à ma fonction étaient en réalité accaparées par les administrateurs CGT ...". Il ajoute plus loin : "...quelle n'a pas été ma surprise de découvrir toutes les sollicitations dont la CCAS fait l'objet pour financer directement des activités sans aucun rapport avec sa mission...".

Bien qu'installé dans un petit placard depuis son éviction sous les combles, ses révélations, qui concernent des opérations de détournements de fonds dont il dit avoir les preuves, déclenchent la fureur des salariés dont plusieurs réagissent en portant plainte. Parmi ceux-ci, Victor Frémaux, cadre retraité et ancien militant CGT, a l'intelligence de s'adresser au tribunal de Bobigny dont dépend la CCAS qui siège à Montreuil. La Brigade de répression de la délinquance astucieuse (BRDA) ouvre une enquête. Parallèlement,
la CGC tente d'obtenir un audit interne des comptes de la CCAS, mais cette requête est rejetée par les autres organisations syndicales : la CGT, la CFDT et FO. Lorsque le parquet de Bobigny décide, au vu des conclusions de l'enquête préliminaire, de transférer l'affaire au tribunal parisien qui a lui-même ouvert, le 19 février 2004, une information judiciaire pour "abus de confiance, escroquerie, faux et usage de faux, complicité et recel", l'attitude des syndicats, partenaires minoritaires de la CGT, change : la CFDT se porte enfin partie civile. Là-dessus, le dernier rapport de la Cour des Comptes sur le sujet, non rendu public, venait d'être partiellement divulgué dans la presse tant il se révèle explosif. Il faut dire que le dernier rapport, datant des années 90, avait été totalement étouffé. Cette fois-ci, le scandale n'était plus dissimulable.

Un simple exemple, remonté par Jean-Claude Laroche, illustre très bien les dérives de cette organisation de malfaiteurs communiste devenue carrément mafieuse : le conseil d'administration du CE décide de financer le CD "Stop da war" du groupe néo-punk Sergent Garcia au moment de la seconde guerre du Golfe dans une perspective clairement idéologique. Plus grave, 77 000 disques se retrouvent comme supplément dans l'Humanité Hebdo, joli coup de pouce financier au journal en déroute (malgré les 1.5 millions d'euros de subventions publiques au quotidien et l'aide consistante de la famille Dassault) !

Les anecdotes de fournisseurs surpayés pour leurs prestations, comme Idélia (location des véhicules saisonniers) et Chronofeu (extincteurs), font l'objet d'analyses minutieuses. Il faut dire que la politique des achats pèse plus de 220 millions d'euros par an. Après le passage au peigne fin d'une cinquantaine de fournisseurs, la CCAS pourrait bien être sanctionnée au titre du délit de favoritisme au regard des principes généraux du Code des marchés publics.

Ces cadeaux ont en effet une contrepartie importante. Par exemple, l'Institut de formation des personnels des industries électriques et gazières (Iforep), qui reçoit 10 millions d'euros de budget par an, est "autorisée à enregistrer et à diffuser" gracieusement les spectacles produits lors de la fête de l'Huma. Ce n'est pas tout. Non seulement le rapport évalue le montant de travaux réalisés par l'Iforep et pire les impayés par l'Huma à près de 400 000 euros pour la seule période qui court de 1999 à 2003, la CCAS aurait même acquitté une facture totale de 135.000 euros incluant d'autres services rendus pour la seule année 2002. Joli montage de financement de la part de la CCAS au profit de la fête de l'Huma ! On imagine la cascade de financements occultes comparables qui restent à découvrir.

Les 150 restaurants d'entreprises et cantines de la CCAS, deuxième activité après la gestion des centres de vacances, servent plus de 6 millions de repas pas an. Avec une fréquentation en baisse et une gestion lamentable, elle se retrouve de plus en plus lourdement déficitaire. Le coût du repas, à 12 euros, est le double du prix de revient des grandes centrales comparables. Rémunération du personnel largement supérieurs à la moyenne du secteur, sureffectifs importants et une centrale d'achat qui prend étrangement de lourdes commissions au passage (de 4 à 12 %). La Cour des Comptes n'épargne d'ailleurs pas les directions d'EDF et de GDF, qui n'ont pas cherché à corriger la dérive alors que certains restaurants sont entièrement subventionnés (donc pris en charge directement par EDF et GDF, en plus du budget faramineux du CCAS).

Une part de 40 % du budget global de la CCAS part dans l'organisation des vacances et des loisirs des agents, alors que seuls 14 % des rentrées y sont consacrées. Là aussi, les performances sont bien piètres, car la CCAS privilégie une vision dogmatique à des termes économiques : le réseau de centres de vacances, qui a fait la réputation de la CCAS, est désormais surdimensionné et vieillissant. En plus de la comptabilité analytique inexistante, de nombreuses irrégularités, comme la confusion de comptes bancaires nominatifs, ont été repérées par la Cour des Comptes.

La gestion du personnel semble très particulière. Les auditeurs de la Cour ont épinglé des parcours professionnels très atypiques, des dossiers qualifiés de lacunaires, un recrutement et des progressions de carrière sur des critères de sélection plus qu'opaques... Avec plus de 4 000 personnes, dont 1 052 mises à disposition par EDF et GDF (en plus du 1 % du chiffre d'affaire de base), la gestion des effectifs apparaît particulièrement imprécise. Par ailleurs, le recours aux CDD est fréquent : 1.800 personnes en 2003 (hors saisonniers) correspondent à 400 temps plein.
Pourtant, les licenciements injustifiés sont fréquents (simples écarts par rapport à la ligne du parti. Les contentieux devant les prud'hommes sont nombreux et coûtent cher. Entre 1999 et 2004, les départs transactionnels ont coûté 972.939 euros, auxquels il faut ajouter les réintégrations forcées.)

Enfin, les caisses mutuelles d'EDF, avec 30 % du budget de la CCAS, sont chroniquement déficitaires... au point de frôler la cessation de paiement, bien que EDF GDF n’ait jamais hésité à abonder lourdement les budgets des 110 caisses locales de la mutuelle à coups de millions d'euros. Mais voilà, la gestion des mutuelles est assurée... par la CGT qui ponctionne 23.5 % des fonds pour la seule gestion, sans aucun contrôle.

Après l'accumulation des plaintes et ce rapport de la Cour des Compte, espérons que nos magistrats auront le courage d'assainir cet environnement scandaleusement opaque, ainsi qu'une rationalisation des appels d'offre avec des règles claires et une transparence des comptes. Avec le nettoyage de cette planque à militants marxistes culturels qui sert aussi de pompe à fric, c'est un nouveau coup dur pour les finances de la CGT et du PCF!
Confrontée à une telle accumulation de faits précis, la seule réaction de la CGT a été d'avancer qu'on lui faisait un procès politique. Un peu léger...

Voir ici une Ordonnance de renvoi de ce procès.
En juillet 2006 l’ex n°1 du syndicat marxiste CGT, Bernard Thibault, (L'actuel secrétaire général de la confédération est Thierry Lepaon) était entendu par un juge pour un emploi fictif. Ce n'était qu'un volet de l'énorme scandale qui couvait à propos du très opaque comité d'entreprise d'EDF.
L’ex patron ou secrétaire général du plus puissant syndicat de France convoqué chez un juge, cela n'arrivait pas tous les jours. Dès lors, l'audition de Bernard Thibault, par le juge d'instruction Jean-Marie d'Huy avait fait quelque bruit à Paris.

Le n°1 de la CGT avait été entendu dans une affaire d'emploi fictif. De 1999 à 2002, une de ses secrétaires particulières avait été gratuitement «mise à disposition» de son syndicat par le comité d'entreprise (CE) d'Electricité de France (EDF), comité lui-même bastion de la CGT depuis la Libération. Cette pratique des «appuis administratifs» gracieusement mis à disposition de syndicats par EDF durait en fait depuis des dizaines d'années.
Ces détachements d'employés relevaient bien sur du détournement de fonds pratique bien connue des marxistes culturels. Ils ne constituaient néanmoins qu'un infime volet de la vaste enquête judiciaire dont est l'objet le CE d'EDF. La suspicion est à la mesure de l'objet de l'enquête: énorme. En effet, le CE d'EDF est le plus gros comité d'entreprise de France. Il est doté d'un budget annuel de 400 millions d'euros alimenté par 1% du produit des ventes de gaz et d'électricité, c'est-à-dire payé par tous les abonnés au gaz et à l’électricité en France et emploie 5 000 personnes. Chaque année les clients, contribuables, subventionnent outre EDF, la SNCF, la RATP, la POSTE, etc., plus de 1000 sociétés ou l’Etat conserve des participations. Des milliards ont été engloutis en pure perte à France Télécoms (Orange), AIR France, AIR inter, BUL, les MINES, La Sidérurgie etc. Il gère plus de 600 centres de vacances et restaurants d'entreprise et constitue la première société de spectacle de l'Hexagone, avec un millier de manifestations « culturelles » produites chaque année. Ses prestations « sociales » et de loisir bénéficient à un demi million de personnes par an: électriciens et gaziers, leurs conjoints et enfants et les retraités d'EDF-GDF.
Depuis plus de dix ans, ce comité d’entreprise se voit reprocher (par la Cour des Comptes, notamment) d'être en délicatesse avec la réglementation relative à la passation de marchés, de mener une politique sociale et culturelle dispendieuse et peu efficace, de gérer son personnel pléthorique de manière hétérodoxe (octroi d'avantages injustifiés, favoritisme dans les promotions et les nominations, etc.), et de mener grand train de vie -voir son somptueux siège social à Montreuil (banlieue parisienne). A ces accusations d'opacité et de mauvaise gestion, se greffent depuis 2004 des soupçons encore plus graves de malversations.
Une enquête judiciaire a été ouverte pour abus de confiance, escroquerie, faux et usage de faux et abus de biens sociaux. Le CE d'EDF est suspecté d'avoir été la «vache à lait» de la CGT et du Parti communiste. Via, par exemple, des emplois fictifs comme celui évoqué lors de l'audition de Bernard Thibault mercredi, via des achats massifs d'exemplaires du journal «L'Humanité», la prise en charge de frais de «La fête de l'Huma», et le paiement de dépenses électorales de candidats communistes dont l'ex-leader raciste Robert Hue. Fin 2004, un corbeau avait même envoyé au juge des documents qui l'ont mis sur la piste d'un financement occulte présumé, par le CE d'EDF, de la campagne présidentielle de Lionel Jospin en 2002, par le biais de prestations surfacturées à une célèbre agence de publicité proche du PS.
Depuis le début de cette enquête, la très communiste CGT, par la voix de son secrétaire général, notamment, dénonce comme d’habitude une «manipulation politique»: une «mousse médiatique» qui n'aurait d'autre but que de «jeter le discrédit sur le monde syndical». La justice, néanmoins, poursuit son travail. Après plusieurs perquisitions spectaculaires ces derniers mois, vient donc le temps des auditions. Et demain celui des arrestations?
Les malversations de la CGT et du PCF ? Drôle de justice !

Association Républicaine des Anciens Combattants (ARAC) 

Organisation communiste de « masse » à l’agonie et Association de malfaiteurs satellite du PCF.

Les organisations communistes de masse étaient et sont encore pour la plupart des regroupements contrôlés par la Troisième internationale (qui était directement liée à l'URSS).
Sous prétextes d'identification à un critère particulier (sexe, anti racisme, catégorie professionnelle, catégorie ethnique, cause « sociale », âge...), les organisations de masse avaient et ont pour but de rassembler le « peuple » et de relayer la propagande du Parti, elle-même largement dictée par la direction de l’Etat soviétique et l’idéologie marxiste. C'est lors de la Guerre froide que leur développement et leur utilisation est le plus fécond.  Après la chute de l'URSS en 1991, leur existence est remise en cause : certaines disparaissent, tandis que d'autres se réorganisent en s'émancipant politiquement très partiellement et poursuivant toujours les mêmes buts, à savoir la domination mondiale sous l’égide de la doctrine marxiste.
L’Association « républicaine » des anciens combattants (ARAC) est une de ces associations faisant partie des organisations communistes de masse qui sont des organisations sectorielles évoluant autour du Parti Communiste Français et marxistes culturelles antisémites, en l’occurrence bien qu’a l’agonie elle aurait encore une dizaine d’adhérents vieux staliniens et anciens combattants communistes ; Créée en novembre 1917 et existant péniblement avec de moins en moins d’adhérents (Les réunions se font dans une cabine téléphonique). L'ARAC fut fondée durant la Première Guerre mondiale, par le bolchevique Raymond Lefebvre et par Henri Barbusse écrivain et journaliste communiste (son premier président, mort à Moscou et des proches, dont Paul Charles Couturier, connu sous le pseudonyme Paul Vaillant-Couturier, un des fondateur de la section Française de l’Internationale communiste qui deviendra beaucoup plus tard le Parti Communiste dit Français, Boris Lifschitz dit Souvarine élu au premier comité directeur de la SFIC), anciens combattants de la Première Guerre mondiale.

Les principales missions de l'Arac actuellement seraient:
Des service juridiques et sociaux (obtention de la Carte du combattant, du titre de Reconnaissance de la nation, de la retraite du combattant, etc… L'assistance d'un avocat et d'un médecin-conseil pour l'obtention des pensions militaires d'invalidité). Ses services n’existent plus.
Des « missions » de service « voyages et loisirs » (organisation de voyages pour les cadres du PCF, ainsi que diverses activités marxistes culturelles dans un objectif de mémoire, de civisme et d’action pour la « paix » et la solidarité internationale) payés avec l’argent du contribuable. L'ARAC a créé des Clubs de la mémoire locaux essentiellement ouverts aux « jeunes ».
Un voyage à organiser d'urgence au mémorial des victimes du communisme.
Voir ici la vidéo.
Le devoir de mémoire c'est ici !
Aujourd’hui Le site officiel de l'Arac n’existe plus.
L’A.R.A.C a encore une adresse : 2 Place Méridien 94800 VILLEJUIF  un Tel : 01 42 11 11 11 et un fax : 01 42 11 11 10
Voir aussi ici.

Association Universitaire pour le Respect du Droit International en Palestine (AURDIP)

Association satellite du PCF.

Le site.
Encore une association satellite du PCF de la nébuleuse de la haine antisémite crasse ! Cette association qui regroupe une centaine de « scientifiques » et idiots utiles français et autres intellocrates idiots imbéciles fait partie de nébuleuse d’organisations antisémites qui militent pour le boycott d’Israël en particulier dans le domaine universitaire elle a été créée en liaison avec la Campagne Palestinienne pour le Boycott Académique et Culturel (sic) d’Israël (PACBI) et avec l’organisation britannique BRICU (Sans rire !).
En général scientifique rime avec rigueur et rationalité et c’est donc avec une certaine stupéfaction que Clément Weill Raynal a découvert ICI et sur internet l’éditorial de la lettre du mois de décembre 2011 de l’AUDIRP.
Dans cet éditorial, le président de l’association antisémite, d’origine Norvégienne Ivar Ekeland () professeur a l’University of British Columbia de Vancouver, membre de l’ Academy Norvégienne des Sciences et des Lettres revient sur le succès du pamphlet de Stéphane Hessel et essaye d’y trouver une explication.
Et voilà ce que disait notre mathématicien « boycotteur », lisez avec attention ces quelques phrases :
« Quant à « Indignez-vous », ce petit pamphlet a véritablement touché une corde sensible chez plus d’un million de personnes. La question qu’il pose fait le titre d’un conte de Tolstoï : « Qu’est-ce qui fait vivre les hommes?  » La réponse de Stéphane Hessel, l’indignation, plonge ses racines très loin. On songe, par exemple, à l’un des épisodes les plus célèbres des évangiles : Jésus, montant au Temple pour prier, le trouva rempli de marchands et de changeurs, qui y faisaient affaire avec les pèlerins; pris de fureur, il renversa les tables et perturba le commerce, comme un vulgaire militant BDS faisant du scandale dans un supermarché. »
Ce passage n’a guère vieilli: on y retrouve l’instrumentalisation de la religion pour couvrir des affaires sordides, l’indignation « citoyenne » devant la complicité des autorités, et finalement la réaction de celles-ci qui vont mettre en branle l’appareil judiciaire pour mettre le perturbateur hors d’état de nuire.
On aurait voulu établir un parallèle entre l’antisémitisme le plus traditionnel et la campagne de boycott qu’on ne s’y serait pas pris autrement.
Tout y est : les juifs et l’argent, la fureur de jésus assimilée à celle des boycotteurs, et – cerise sur le gâteau – Stéphane Hessel transformé en Christ sur la croix.
Et c’est un mathématicien qui se flatte sur son CV d’enseigner à Polytechnique et à Saint-Cyr qui a pondu cet éditorial…

Nostalgie quand tu nous tiens !

Les explications de Victor Perez sur le "camarade" Ivar  Ekeland ancien président de l’Université Paris Dauphine et du Conseil Scientifique de l’École Normale Supérieure.

Collectif Judéo Arabe et Citoyen pour la Paix (CJACP)

Association satellite du PCF
Le Collectif bidon annexe de l’AFPS et du PCF dit Judéo Arabe et Citoyen pour la Palestine, est créé en 2002, il rassemblerait des « citoyens » (4 ou 5 tout au plus) d'origines et de confessions diverses (entendre aussi que le mot citoyen doit être pris ici dans les sens de communiste ou sympathisant marxiste) autour de la volonté commune d'apporter leur pierre à la construction d'une paix juste et durable au Proche-Orient. (Discours habituel du PCF).
La lettre du CTECNA aux antisémites du CJACP du 6 octobre 2013 ci-dessous :
Collectif judéo Arabe et citoyen pour la paix.
A l’attention de madame Perrine Olff-Rastegar
Madame,
C’est avec stupeur et consternation que notre collectif à pris connaissance d’une affiche diffusée sur Internet ou votre Collectif accorderait son soutien à douze activistes islamo marxistes inculpés d’incitation à la haine raciale antisémite et passant en jugement à Colmar en appel le 13 Octobre prochain. (Copie de l’affiche ICI.).
La formation d’ultra gauche EELV représenté par madame Djamila Sonzogni, conseillère Régionale Alsace, conseillère municipale de Mulhouse, appelle aussi sans aucune vergogne à manifester durant l’audience pour soutenir les proclamateurs de la haine inculpés à partir de 8h devant la Cour d’Appel de Colmar ICI. Le Bureau National de Vigilance Contre l’Antisémitisme et le Ligue Contre le Racisme et l’Antisémitisme sont parties civiles dans ce procès.
Parmi les fameux douze activistes d’ultra gauche ( Voir ici notre article très complet sur les porteurs de haine antisémite.) on y trouve madame Aline Parmentier, Secrétaire Départementale du Parti Communiste Français section Alsace, madame Farida Trichine de « Justice » pour la Palestine Alsace, monsieur Henri Eichholzer de l’Association France Palestine Solidarité  68 (Monsieur Eichholzer avait été condamné à 4 ans de prison par un tribunal de district de Tel-Aviv le 14 Mars 1984 pour avoir collaboré avec le FPLP pour préparer un attentat terroriste le FPLP est une organisation  placée sur la liste officielle des organisations terroristes anti sémite), monsieur Mohamed Akbar ( Citoyen Afghan) de l’Association REDA, ( La « dynamique » présence musulmane) et monsieur Jacques Ballouey d’Europe Ecologie les Verts 68
Madame Martine Aubry, ancienne première secrétaire du Parti Socialiste avait réaffirmé la position du Parti Socialiste au sujet de l’antisémite campagne BDS, lors d'un repas organisé le 8 novembre 2010 par le Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF), en indiquant notamment : « J'ai toujours combattu avec la plus grande détermination les tentatives faites par certains de vouloir importer le conflit du Proche-Orient dans notre ville. » « Je pense que ceux qui prônent le boycott se trompent de combat : au lieu de porter la paix, ils portent l'intolérance, ils portent la haine. Et quand on veut un chemin de paix, on ne commence pas par porter cela. ».

Aujourd’hui des voix s'élèvent contre la campagne BDS. Il s'agit à la fois de philosophes, comme Alain Finkielkraut et Bernard-Henri Lévy, d'écrivains comme Pascal Bruckner, Mohamed Sifaoui et Yann Moix, de politiciens comme Bertrand Delanoë, le président François Hollande, Anne Hidalgo, Jean-Marie Le Guen et monsieur le ministre Manuel Valls, d'artistes ou d'hommes de théâtre et de médias comme Yvan Attal, Pierre Arditi, Michel Boujenah, Patrick Bruel, Bernard Murat et Pierre Lescure, de présidents d'associations, comme Dominique Sopo (SOS-Racisme), Arielle Schwab (UEJF) et d'historiens ou géopolitologues, comme Georges Bensoussan et Frédéric Encel.
Ces personnes sont en effet signataires d'un texte intitulé « Le boycott d'Israël est une arme indigne », dans lequel il est notamment indiqué :

« L'illégalité de la démarche ne fait pas de doute et la justice française ne tardera pas à la confirmer. Mais la justice sera bien en peine de sanctionner ce qui est essentiel dans cette affaire. C'est pourquoi, nous, associations, citoyens de tous bords, acteurs de la vie de notre pays, tous également attachés à la paix au Moyen-Orient et, donc, à l'avènement d'un État palestinien viable et démocratique aux côtés d'Israël, nous sommes convaincus que les boycotteurs se trompent de combat en prenant le parti de la censure plutôt que celui de la paix, celui de la séparation plutôt que celui de la possible et nécessaire coexistence - celui, en un mot, de la haine et non de la parole et de la vie partagées.

En outre, près de quarante lauréats du prix Nobel sont signataires d'une « Déclaration des Prix Nobel en réponse à la campagne BDS d’appel au boycott académique » dans laquelle ils indiquent :

« Convaincus que les appels au boycott, au désinvestissement et aux sanctions des institutions académiques et culturelles :

Vont à l’encontre des principes de liberté académique et scientifique
Contreviennent aux principes de liberté d’expression et de recherche
Sont susceptibles de constituer une discrimination en vertu de l’origine relative à un État nation

Nous soussignés, Lauréats du Prix Nobel, appelons les étudiants, les enseignants et administrateurs de facultés à vaincre et dénoncer les campagnes d’appels au boycott, au désinvestissement et aux sanctions à l’encontre des institutions académiques, universitaires ou affiliées à des centres de recherche et de formation israéliens. De plus, nous encourageons les étudiants, les enseignants et administrateurs de facultés à promouvoir et fournir des opportunités au débat académiques citoyen pour que les parties s’engagent vers une résolution des conflits et des problèmes plutôt que de servir d’incubateurs à la défiance polémique, la propagande et l’incitation à la haine.

Selon toutes ces personnalités, dont François Hollande lui-même notre Président de la république, ces inculpés, madame Aline Parmentier, Farida Trichine, Henri Eichholzer, Mohamed Akbar et Jacques Ballouey sont des porteurs de haine. Votre soutien, si il se maintient serait celui, en un mot, de la haine et non de la parole et de la vie partagées, ce qui pour un « Collectif » se définissant comme défenseur de la « paix » serait pour le moins curieux ;
Dans l’attente de votre réponse je vous prie d’agréer, madame, l’expression de nos salutations les plus distinguées.
Pour le secrétariat du CTECNA.
Michel Alain Labet de Bornay
Sur notre Blog Antisémitisme ? Non merci ! Les commentaires sont libres !

NB : Un exemple de jurisprudence : La cour d’appel du tribunal de Bordeaux a rendu le 22 octobre 2010 son délibéré dans le cadre du procès (intenté par le BNVCA (Le Bureau National de Vigilance Contre l’Antisémitisme) et l’association Avocats Sans Frontières) intenté à une multirécidiviste de la haine antisémite militante de la LDH sévissant dans les grandes surfaces commerciales Françaises Sakina Arnaud Kimoun qui avait déjà été justement condamnée le 10 février 2010, par le tribunal correctionnel de Bordeaux  à 1 000 € d’amende, cette membre de la LDH (Ligue des Droits de l’Homme) a été reconnue coupable de « provocation à la discrimination et à la haine raciale ».

Et le 23/05/12 Le Bureau National de Vigilance Contre l'Antisémitisme et le CTECNA saluait la décision de La Cour de Cassation, amenée à se prononcer sur l’arrêt de la Cour d’Appel de Bordeaux et de condamner Sakina Arnaud pour incitation à la haine raciale. Ainsi la Cour de cassation, par son arrêt du 22 mai 2012, a confirmé que le fait d’appeler publiquement au boycott des produits israéliens est constitutif d’une provocation à la discrimination à raison de la nationalité. Cette décision confirme les avis exprimés par le Défenseur des Droits, dans son rapport d’octobre 2011. »

La direction de ce « Collectif » islamo marxiste tout aussi bidon que les autres est bicéphale avec madame Perrine Olff-Rastegar et monsieur Jacques Lewkovicz.

Membre de l'UJFP madame Olff-Rastegar se présente comme une « travailleuse indépendante » du secteur associations et organisations sociales et syndicales qui est l’autre nom pour une marxiste culturelle antisémite et Islamo gauchiste.

Professeur des universités à Strasbourg monsieur Jacques Lewkovicz est un  « judenalster » sorte de « staroste juif » membre de Judenrat tel l’UJFP.
Voir ici sur wikiversity la "Collaboration juive sous le nazisme"

Les « idées » nauséabondes de madame Perrine Olff-Rastegar et de monsieur Jacques Lewkovicz sont à l’origine des cris immondes de « Itbah al-Yahud : mort aux juifs » dans les rues de Paris ! En plein boulevard Voltaire, des magasins juifs sont saccagés (Merci le CJACP) sans oublier les cris de « on va tous vous tuer! ». Les slogans en arabe: « al Itbach yahud » (massacrer les Juifs), « Falastin balad'na w'al yahud qalab'na » (Palestine est notre terre et les Juifs sont nos chiens), «ba ruh, ba barrage, nafdeek ya Falastin » (avec notre âme, avec notre sang, nous allons te nettoyer oh Palestine), « al malt al Yahud » (mort aux Juifs), « Khaybar Khaybar ya Yahud, Jaish-Muhammad saya'ud »(Khaybar Khaybar oh Juifs , l'armée de Mahomet reviendra Voir ici) sont dus aux slogans et aux idées de nos « judenalster’s » 

La question à suivre………

Copyright 2014. Agence de Presse AIS (Trade Mark). Reproduction autorisée avec la mention suivante : © http://redemptum.blogspot.fr/

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire