Ligue Internationale des Femmes pour la Paix et la Liberté, section française de la Women’s International League for Peace and Liberty (WILPF) (LIFPL).
Ancienne organisation de « masse » marxiste. Combien sont elles en France ? Une ? Deux ? Dix ? C’est dans la liste pour faire nombre et c’est tout encore une insignifiance marxiste culturelle.
Sur Wikipédia.
Le site officiel
Mouvement Jeunes Communistes de France (MJCF).
Association satellite du PCF et pépinière de futurs bolchos antisémites !
Le Mouvement des Jeunes communistes de France (MJCF), communément
appelé JC (initiales de Jeunesse communiste, son premier nom), est une
organisation politique de « jeunesse » du Parti communiste
français. Voir
ici cette organisation de « masse » marxiste culturelle. Les
étudiants sont organisés, au sein du MJCF, dans l'Union des étudiants communistes
dont l'organisation est différente, afin de mieux s'adapter aux « réalités »
de l'enseignement supérieur ICI.
Ils s'organiserait sois disant indépendamment du PCF pour constituer un
masque et une façade comme toute bonne organisation de « masse »
marxiste culturelle : ils décideraient de ses statuts, de son organisation et
de ses dirigeants ainsi que de son orientation, tout en entretenant un dialogue
permanent ( !) avec le PCF sur les actions à mener et des orientations à
prendre dans une visée marxiste stalinienne antisémite dite transformatrice et
collectiviste rouge de la société.
La Jeunesse communiste a été fondée en 1920, à la veille du
Congrès de Tours. Son secrétaire général actuel est Nordine Idir élu en 2012
avec sa carte du PCF. Selon la JC, le « mouvement » compterait 15 000
adhérents sur toute la France.
Le MJCF édite un périodique marxiste stalinien du nom d'Avant-garde.
( Voir ici)
C’est dans ce torchon rouge l’Avant-garde qu’on pouvait lire le 1
Février 1940 en pleine occupation nazie : « tournez vos armes
contre vos ennemis de classe à l'intérieur du pays ».
Dans la droite ligne de leurs « glorieux » aînés
antisémites, le mouvement des Jeunes cocos dirigé par Nordine Idir continuent
leurs pestilentielles actions antisémites.
Le 14/04/2014 on pouvait lire dans le
« quotidien » la Nouvelle République de la Vienne un entrefilet
non signé en forme de « communiqué »:
« Les Jeunes communistes de la
Vienne organiseront une grande journée d'action pour la Palestine, jeudi
17 avril, à Poitiers, dans le cadre de la journée internationale des
prisonniers politiques. A cette occasion, ils prévoient de débaptiser
symboliquement le nouveau viaduc Léon Blum pour lui donner le nom d'un
prisonnier politique palestinien, ils demanderont à la mairie de faire ce
prisonnier citoyen d'honneur de la ville et d'organiser un jumelage avec une
ville palestinienne. Les Jeunes communistes de la Vienne annoncent aussi qu'ils
déploieront un grand drapeau palestinien de cinq mètres sur un édifice bien
visible en ville. »
Bande de petits salopards antisémites bien dignes de vos aînés les
bêtes putrides du PCF, car il convient encore une fois de rappeler quelques glorieux
faits d’armes des communistes français dans leur « amour » des
juifs, en remontant bien sur à l’article de Maurice Thorez paru en 1940 dans le
bulletin de l’internationale communiste et intitulé « renégats et
politique d’union sacrée, Léon Blum tel qu’il est » où il décrit « le
« juif » Blum avec l’hypocrisie de sa « race », son nez
caractéristique, et son aversion venant de sa « race » pour tout ce
qui était national » où Maurice Tréand qui en 1940 chargé de négocier
avec les nazis la levée de l’interdiction du PCF et de l’humanité, dénonce à
son interlocuteur Abetz « le juif Mendel » à la tête de la
croisade contre le PCF/ Le parti de la haine qui a en 1943 trahi le groupe
Manouchian et la résistance des FTP-MOI, essentiellement composé d’Italiens,
d’Espagnols et surtout de Juifs d’origine polonaise, hongroise et roumaine.
En annonçant leur
intention de débaptiser le nouveau viaduc Léon Blum la bande de petits
malfaiteurs du gang antisémite communiste « JC86 » qui ont toujours la haine antisémite abjecte dans
leurs chromosomes et qui continuent à l'exprimer ouvertement par la bouche de
leurs leaders et de façon plus insidieuse par la bouche de leurs
« militants » de la nébuleuse islamo marxiste et ce pour lui donner le
nom d’un terroriste palestinien, dans le cadre d’une journée « d’action
antisioniste » organisée par les petits nervis du PCF à Poitiers, le
Mouvement des Jeunes Communistes de la Vienne ne s’aventure pas seulement sur
un terrain très douteux, il se livre à une véritable provocation. Arthur Giry
(Etudiant en histoire, mais pas de l’histoire frelatée du PCF, se présentait au
suffrage de ses concitoyens aux dernières municipales à Vouneuil sur Vienne sur
une liste socialiste, il n’est pas élu ; heureusement), le
« camarade » Arthur, jeune fonctionnaire et coordinateur
départemental des 5 personnes qui compose l’association de malfaiteurs dite les
« Jeunes communistes de la Vienne » s’en défend en
expliquant avoir simplement choisi cet ouvrage parce qu’il est nouveau, qu’il
se trouve près de la gare et qu’il est pratique de s’y réunir… Ben tiens mon
gros et la marmotte elle met le chocolat dans le papier d’alu ! Pourtant,
pour un étudiant en histoire, comment ignorer que Léon Blum, d’origine juive, a
dû faire face à un antisémitisme féroce toute sa vie? Comment oublier qu’il fut
aussi un avocat de la cause sioniste? Alors que l’ultra gauche marxiste n’en
finit pas d’accuser l’ancien président du conseil d’être un social traître, il
est difficile de ne pas voir un symbole dans cette action menée par des
militants communistes pour la défense des Palestiniens. Quand bien même il ne
s’agirait que d’une maladresse, le choix n’en serait pas moins contestable.
Inutilement déplacé pour un juste combat qui mérite mieux.
Un journaliste honnête (si
si il y en a …la preuve) éditorialiste
de « la Nouvelle République » monsieur Baptiste Bize s’indignait du
communiqué des putrides Jeunesse communiste de la Vienne en assurant le 14/04/2014 : « Il est des symboles avec lesquels on ne peut
décemment pas jouer. La
suite ici
Le 15 Avril soit le
lendemain, les « jeunes » haineux antisémites et communistes
répondent à monsieur Bize en affirmant péremptoirement ne pas se situer à
l’extrême gauche de l’échiquier politique Français, c’est sur, avec des
discours dignes du docteur Goebbels (Curieusement le bon docteur Goebbels était
à l’origine un marxiste convaincu, un communiste rallié au Socialisme National
du chancelier du troisième Reich démocratiquement élu l’immonde nazi Adolf
Hitler, après la lecture de son ouvrage « Mon combat ») ces braves
petits boutes feu de la haine se situent aujourd’hui à l’extrême droite !
Ils accusaient monsieur
Bize d’inculture politique crasse en affirmant que les « organisations » connues pour leurs
sympathie et même plus si affinité avec l’idéologie marxiste sont rien moins
qu’antisémites, et héritières d’une tradition communiste et révolutionnaire
circulant par des passeurs qui furent souvent juifs.
Comme c’est beau la langue
de bois des marxistes culturels, tellement lobotomisés qu’ils en
« oublient » la part écrasante de responsabilité du Parti Communiste
dans, entre autre, les arrestations de résistants, dont les 23 de l’Affiche
rouge, parti communiste, qui a en 1943 a trahi le groupe Manouchian et la résistance
des FTP-MOI. Voir
ici
Et puis cerise rouge sur le gâteau de la haine, Bize bafouerait la mémoire de tous les jeunes
communistes morts pour la France dans la Résistance contre les nazis comme Guy
Môquet, les jeunes communistes sont définitivement fâchés avec l’histoire Voir
ici. Rappelons leur donc que l’organe de la haine rouge l’Humanité du
13 juillet 1940 publiera un article intéressant sous le titre « Fraternité
franco-allemande » : « Les conversations amicales entre travailleurs
parisiens et soldats allemands se multiplient. Apprenons à nous connaître. Et
quand on dit aux soldats allemands que les communistes ont été jetés en prison
pour avoir défendu la paix, quand on leur dit qu’en 1923 les communistes se
dressaient contre l’occupation de la Ruhr, on travaille pour la fraternité
franco-allemande ».
Guy Môquet, comme son
père, était sans aucun doute un militant communiste loyal, sincère et
convaincu. Il y en avait, il y en a, et il y en aura toujours. Pauvre
gens ! Des bandes d’énergumènes asthéniques au comportement exalté et
inquiétant ou des pétoncles végétatifs
sans culture, des boutes feu de la haine rouge, des abrutiles prenant pour
argent comptant la propagande immonde marxiste !
Mais la véritable histoire
de ce malheureux adolescent, qui ne fut jamais un résistant, mais un collabo
tombé à dix-sept ans sous les balles allemandes, est beaucoup plus tragique que
la légende imposée aujourd’hui comme doctrine officielle, avec lectures
obligatoires, par les pouilleux thuriféraires marxistes culturels.
L’exécution de Guy Môquet en effet – qu’on le veuille ou non – n’est pas la conséquence de ses prétendues actions de résistance à l’Occupant. Elle est le prix suprême dont il a dû payer sa propre ferveur militante, au sein d’un Parti communiste sans aucune conviction patriotique ni aucun sens des valeurs nationales : un Parti qui a objectivement soutenu l’offensive allemande avant de se retourner contre elle… au lendemain de la rupture du Pacte germano-soviétique en fin 1941.
Tel sont les faits, abondamment confirmés par tous les historiens non communistes de la Seconde guerre mondiale, dans la chronologie implacable de leur terrible vérité :
23 août 1939 : Pacte de non-agression entre l’Allemagne nazie et l’URSS. Hitler a les mains libres pour envahir l’Europe centrale, puis occidentale. En échange du partage militaire de la Pologne entre l’Allemagne et l’Union Soviétique, Staline consentira aussi au Reich des livraisons massives de blé, de pétrole et de matières premières.
Fin août 1939 : La Section Française de l'Internationale communiste qui deviendra plus tard le Parti Communiste Français (PCF) choisit officiellement la voie du « pacifisme » et de la propagande contre la « guerre impérialiste » de la France et de l’Angleterre pour emboîter le pas à l’alliance décrétée par Staline, sans entrer dans une position trop ouvertement collaborationniste avec les Allemands.
26 septembre 1939 : dissolution de le SFIC qui n’était pas encore le PC-F, soupçonné à juste titre « d’intelligences avec l’ennemi », par le gouvernement socialiste Daladier. Le quotidien L’Humanité est interdit de parution. De nombreux responsables et militants communistes, traqués par la police française, partent en « cavale ».
Octobre 1939 : arrestation de Prosper Môquet (le père de Guy), syndicaliste cheminot et député communiste du XVIIe arrondissement de Paris, qui sera condamné en avril 1940 à cinq ans de prison.
8 novembre 1939 : Maurice Thorez, secrétaire général du PCF, déserte, il a quitté nuitamment sa garnison d’Arras et s’installe à Moscou. Il sera condamné comme déserteur le 28 novembre 1939 par le tribunal militaire d’Amiens.
Avril-mai 1940 : condamnation de militants communistes pour faits de sabotage dans les usines d’armement, juste avant l’invasion de la Belgique et de la France par l’armée allemande.
13 octobre 1940 : arrestation de Guy Môquet, gare de l’Est à Paris, par la police française du gouvernement de Vichy. Il a alors seize ans, et milite au sein des jeunesses communistes en distribuant des tracts collaborationnistes conformes à la ligne officielle du Parti, dictée par Moscou.
22 juin 1941 : rupture du Pacte germano-soviétique. Hitler envahit l’URSS. Staline rejoint le camp des Alliés. Les communistes français entrent alors – et alors seulement – en résistance contre l’Occupant nazi. Ils s’y montrent d’autant plus efficaces qu’ils ont déjà près de deux ans d’expérience – au service de la cause « pacifiste » ordonnée par Staline – en matière de clandestinité.
20 octobre 1941 : assassinat de Karl Hotz, commandant des troupes d’occupation de la Loire inférieure, par trois militants communistes. En représailles, l’Occupant décide de fusiller 50 otages.
22 octobre 1941, conclusion logique de tous les faits précédents : Guy Môquet est fusillé avec tous les autres internés communistes du camp de Châteaubriant, à l’âge de dix-sept ans. Parallèlement, vingt-et-une autres personnes sont fusillées à Nantes et à Paris.
Guy Môquet a donc eu le malheur d’être arrêté par la police française en octobre 40, huit mois avant la rupture du Pacte germano-soviétique, quand nos jeunes « progressistes » et militants communistes servaient les plans de Staline en distribuant des tracts « pacifistes », objectivement pro allemands dans une France occupée, tandis que les moins jeunes avaient déjà déserté l’Armée française ou saboté ses chars et ses avions…!
Son histoire est celle des milliers de jeunes que le Parti Communiste français a trompé pendant près de deux ans, d’août 1939 à juin 1941 inclus, en détournant leur ferveur patriotique au service d’une obscure alliance entre Hitler et Staline, les deux plus grands monstres totalitaires que le XXe siècle ait compté.
Elle est celle de ces jeunes que le Parti Communiste français a sacrifié alors sur l’autel de la « révolution mondiale » et de son inféodation aux thèses immondes marxistes propagées par les apparatchiks staliniens et auxquelles croyait le jeune Moquet.
Elle est celle de ces petits et gros mensonges mille fois répétés, récités, imprimés, romancés, cinématographiés et télédiffusés, comme celui du site du PCF, des JC 86, du Fion de Gauche qui permettent de naviguer toujours dans l’émotif, le subjectif, le « politiquement correct » et l’image d’Épinal, pour éviter d’avoir à se casser la tête sur les vraies leçons de choses historiques, la complexité des motivations humaines et l’obstacle des réalités.
Il reste qu’une grande injustice est faite aujourd’hui à la mémoire de Guy Môquet, tombé à dix-sept ans sous les mensonges et les manipulations criminelles du Parti Communiste français, seul véritable assassin de sa jeunesse, de sa générosité et de son idéal. Fusiller la vérité de l’histoire d’un homme, et plus encore de celle de sa mort, c’est l’assassiner deux fois.
Tiens, ils auraient pu
aussi faire référence à un autre raciste antisémite communiste l’idole des « jeunes »
le Che Guevara.
Il conviendra de rappeler que Guevara fut le premier exécuteur au sens propre au service de Fidel Castro. A côté des meurtres et assassinats commis par lui, les à peine 1 500 morts chiliens sous le régime d'Augusto Pinochet sont sans comparaison.
Il conviendra de rappeler que Guevara fut le premier exécuteur au sens propre au service de Fidel Castro. A côté des meurtres et assassinats commis par lui, les à peine 1 500 morts chiliens sous le régime d'Augusto Pinochet sont sans comparaison.
L’idéologie marxiste sanguinaire du CHE comme l’appelle avec complaisance les disciples inconditionnels de l’ultra gauche antisémite, l’amenait à exécuter lui-même sans procès tous ceux qu’il estimait contre révolutionnaires, autrement dit ceux qui ne pensaient pas comme lui. Et ces gens là, membres des jeunesses « communistes » se disent humanistes, pacifistes ? Mais de qui se moquent ces petits haineux antisémites ? Ces assassinats sans procès sont estimés à plus de 500 après la prise de La Havane.
Gardez à l'esprit en
lisant les citations que l’assassin communiste raciste homophobe et antisémite
dégénérescent Ernesto Guevara qu’il était un médecin (sic) qui parlait sans
cesse de l'ignorance et des préjugés mesquins des gens de toutes « classes »
sociales.
Citations de The Motorcycle Diaries (le livre):
Citations de The Motorcycle Diaries (le livre):
"Les noirs, ces magnifiques exemples de la race africaine qui ont conservé leur pureté raciale grâce à leur manque d’affinité avec la baignade et l’hygiène, ont vu leur territoire envahi par un nouveau type d'esclaves: les Portugais."
«Le noir est indolent, nonchalant et rêveur; il va dépenser son maigre salaire en légèreté et en boisson alcoolique; l’Européen lui a une tradition de travail et d'économie qui l'a poursuivi dans ce coin de l'Amérique et le fait se promouvoir lui-même, indépendamment de ses propres aspirations."
Rappelons aussi également
que selon Pierre Clostermann, le raciste et assassin communiste Che, disait que
les noirs étaient “d’une sauvagerie atavique”.
"La première
personne sur qui nous frappons était le maire, quelqu'un appelé Cohen; nous
avions beaucoup entendu parler de lui, qu'il était juif et qu’il n’était
intéressé que par l’argent, ce qui régla son sort"
"L'épisode nous
vexe un peu, parce que l’homme, était en plus homosexuel et un ennemi de la
classe ouvrière de premier ordre et il avait portant été très agréable pour
nous, nous donnant 10 Dollars chacun, apportant notre total à 479 pour
moi et 163 1/2 à Alberto."
C’est cet
« homme » là, qui a dit aussi : «Les Mexicains sont une bande
d'analphabètes Indiens».
Il dit aussi comme tout les marxistes et autres socialistes qu'il ne peut pas être « ami avec quelqu'un qui a des idées contraires aux siennes ».
Même l’ancien compagnon du
Bou « Che » en Bolivie, Régis Debray, déclarait à son sujet : « La haine
brute fait de cet homme une efficace, violente, sélective et froide machine à
tuer ». Fidel Castro le leader maximo lui conseillait alors de tuer tant
que cela sera nécessaire: « Notre lutte est une lutte à mort ».
Pour l’idéologie
socialiste nauséabonde marxiste culturelle, le « Che » antisémite raciste et
homophobe, serait un grand humaniste de gauche communiste ? Mais de qui ce moque
t on ? ? Vous n’avez même pas un soupçon de « rouge » au
front de honte camarades ?
Mais finalement les cocos
antisémites restent dans leur rôle puant certes, mais bien dans la ligne du
parti et de ces fameuses « luttes ». Ce qui est bien plus inquiétant,
c’est la complicité établie avec la presse régionale et les médias. Dans ce cas avec la Nouvelle
République de la Vienne qui ce fait le proclamateur de la haine
antisémite. Avec la publication de ce communiqué qui suinte la haine antisémite
la Nouvelle République de la Vienne devient une véritable succursale de
l’Huma, puant organe de propagande rouge ou pire de l’ignoble et monstrueuse
Pravda ou de Moscou Soir !
Ou encore Sud Ouest, le beau canard Landais ou un certain Nicolas
Dumas se fait en Juillet 2014, le porte parole des associations antisémites
locales porteuses de haine :
« Le Mouvement contre le racisme
et pour l'amitié entre les peuples (Mrap) lance, avec le Mouvement de la paix,
le CCFD, Palestine 40 Voir ici, un
boycott contre les produits israéliens « fabriqués dans les colonies » et
vendus dans les Landes. Les organisations mettent en place le système de
boycott désinvestissement sanctions (BDS). « On lance cette campagne BDS par
l'information du public ». On s'habitue pourtant à sentir mauvais de la plume sur leur site Sud Ouest, mais le plus difficile c'est pour ces « journalistes » allah culture historique essentiellement marxiste culturelle d’habituer leurs lecteurs aux odeurs nauséabondes d’antisémitisme qui exsudent de leurs copies baveuses.
Ce « communiqué » est une véritable provocation et une incitation au passage à l’acte. Ce qui est déjà arrivé la libération de la parole raciste et le passage à l'acte.
Lorsque les musulmans racistes et antisémites multirécidivistes Rachid Zennir, Mohamed Merah, Medhi Menmouche, Abdelhakim Dekhar écoutaient les slogans vociférés par les « anti sionistes » du MRAP, de la LDH, les boutefeux de la haine complaisamment relayés par les médias marxistes culturels tels que : « ISRAEL ASSASSIN », « ETAT D’ ISRAEL ETAT CRIMINEL » ou lorsqu’il entendait Mahmoud Suleiman, le maire du village palestinien d’Al-Masara près de Bethléem en visite à Paris, crier dans un supermarché CARREFOUR avec ces amis de BDS à Évry le 4 juillet 2009 ( Voir la Vidéo ICI !) lors d’une action de boycott : « EN ACHETANT CES PRODUITS, VOUS SOUTENEZ L’ARMÉE ISRAÉLIENNE AFIN QU’ ELLE TUE LES ENFANTS PALESTINIENS, DONC VOUS DEVEZ BOYCOTTER ISRAËL, VOUS DEVEZ ARRÊTER D’ ACHETER LES PRODUITS ISRAELIENS, CHACUN ÉQUIVAUT A UNE BALLE QUI VA TUER UN ENFANT EN PALESTINE. Le poids des mots et le choc des nauséabondes idées islamo marxistes antisémites du MRAP, de l’AFPS reçues ont fait leur travail dans l’inconscient des musulmans Rachid Zennir, Mohamed Merah . Il est donc « logique » que ce soit ces bons musulmans qui aient voulu « venger » les « enfants » palestiniens victimes bien sur des « colons juifs » ! J’accuse aujourd’hui le MRAP et toutes les organisations marxistes culturelles citées ici d’êtres à l’origine des vagues de haine antisémite qui déferlent aujourd’hui sur la France. Coupable et responsables des cris immondes de « Itbah al-Yahud : mort aux juifs » dans les rues de Paris en juillet dernier ! En plein boulevard Voltaire, des magasins juifs sont saccagés sur les cris de « on va tous vous tuer! ». Les slogans en arabe: "al Itbach yahud" (massacrer les Juifs), "Falastin balad'na w'al yahud qalab'na" (Palestine est notre terre et les Juifs sont nos chiens), «ba ruh, ba barrage, nafdeek ya Falastin "(avec notre âme, avec notre sang, nous allons te nettoyer oh Palestine)," al malt al Yahud "(mort aux Juifs)," Khaybar ya Yahud, Jaish-Muhammad saya'ud "(Khaybar Khaybar oh Juifs , l'armée de Mahomet reviendra Voir ici).
Déjà en 2009 le MRAP avait même réussi « l’exploit » de ce faire traiter de mouvement antisémite Cliquez ICI : « Quand au MRAP, on comprend dès lors mieux pourquoi depuis quelques années ce mouvement est en déclin constant. En soutenant une cause qui n’est pas la leur, en soutenant la discrimination d’un peuple et d’un état, le MRAP se discrédite tous les jours un peu plus. On comprend également mieux pourquoi, quand JSSNews demande au MRAP de l’aider à combattre des internautes propageant le nazisme sur internet, (3 emails envoyés), aucune réponse n’a été reçue. Stupéfaction ? Non, normalité pour un Mouvement qui perd de son élan et qui cherche à se relancer en titillant une jeune génération de « français » foncièrement anti-juifs ou anti-blancs (pas de généralité ici, juste un constat sur le fait que le MRAP ne dénonce pas ces formes de racisme et soutien la mise à l’écart d’un État démocratique, libre et indépendant). »
Aujourd’hui comme hier ce mouvement qui distille de la haine des juifs; oui vous avez bien lu : de la HAINE DES JUIFS ! (Voir ici) (« Le MRAP distille de la haine des Juifs en général ! » Citation de Maurice W1nnykamen « Grandeur et misère de l’antiracisme : Le MRAP est-il dépassé ? (Page 203) Aux Editions Tribord).Le MRAP40, par exemple appelle dans les Landes au boycott d’Israël. Aujourd’hui des voix s'élèvent contre la campagne BDS. Il s'agit à la fois de philosophes, comme Alain Finkielkraut et Bernard-Henri Lévy, d'écrivains comme Pascal Bruckner, Mohamed Sifaoui et Yann Moix, de politiciens comme Bertrand Delanoë, le président de tous les Français François Hollande, Anne Hidalgo, Jean-Marie Le Guen et monsieur le ministre Manuel Valls, d'artistes ou d'hommes de théâtre et de médias comme Yvan Attal, Pierre Arditi, Michel Boujenah, Patrick Bruel, Bernard Murat et Pierre Lescure, de présidents d'associations, comme Dominique Sopo (SOS-Racisme), Arielle Schwab (UEJF) et d'historiens ou géopolitologues, comme Georges Bensoussan et Frédéric Encel.
Ces personnes sont en effet signataires d'un texte intitulé « Le boycott d'Israël est une arme indigne », dans lequel il est notamment indiqué :
« L'illégalité de la démarche ne fait pas de doute et la justice française ne tardera pas à la confirmer. Mais la justice sera bien en peine de sanctionner ce qui est essentiel dans cette affaire. C'est pourquoi, nous, associations, citoyens de tous bords, acteurs de la vie de notre pays, tous également attachés à la paix au Moyen-Orient et, donc, à l'avènement d'un État palestinien viable et démocratique aux côtés d'Israël, nous sommes convaincus que les boycotteurs se trompent de combat en prenant le parti de la censure plutôt que celui de la paix, celui de la séparation plutôt que celui de la possible et nécessaire coexistence - celui, en un mot, de la haine et non de la parole et de la vie partagées. »
Ces faussaires de l’Histoire incarnent mieux que de longs discours cette phrase de Winston Churchill : « Les fascistes de demain s’appelleront eux-mêmes antifascistes », sans oublier celle de Léo Ferré : « Le socialisme est l’antichambre du fascisme ». Et moi, j’affirme haut et fort que certains antiracistes d’hier sont les racistes antisémites d’aujourd’hui !
Mais ses gens là se cachent, depuis un certain temps, les avis, articles, communiqués du MRAP qu’ils soient nationaux ou locaux ne sont plus signés ! De quoi ont-ils peur ? De quoi ont-ils honte ?
Il n’y a pas si longtemps que le MRAP des Landes appelait sur son site à faire de « grands barbecues de drapeaux Israéliens » (Copies d’écran faites), aujourd’hui les appels sournois à la haine antisémite prennent le canal des médias comme Sud Ouest.
Ces appels continuels à la haine raciale antisémite dans la presse Française ("Madame Martine Aubry, première secrétaire du Parti Socialiste avait réaffirmé la position du PS au sujet de l’antisémite campagne BDS, lors d'un repas organisé le 8 novembre 2010 par le Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF), en indiquant notamment : « J'ai toujours combattu avec la plus grande détermination les tentatives faites par certains de vouloir importer le conflit du Proche-Orient dans notre ville. » « Je pense que ceux qui prônent le boycott se trompent de combat : au lieu de porter la paix, ils portent l'intolérance, ils portent la haine. Et quand on veut un chemin de paix, on ne commence pas par porter cela. »)
Monsieur MRAP Landes n’en souffle mot sur son site. Monsieur MRAP
Landes n’est autre que le beau pseudonime de l’illustrissime Gérard Kerforn un
sexagénaire retraité de l'Éducation nationale, un vieux stalinien arrivé à Mont
de Marsan en 1987 et président du MRAP40. Ce
brave "monsieur" était en son temps "choqué" par le boycott
!
Monsieur MRAP Landes retraité de l’éducation nationale président
de la fédération du MRAP des Landes auteur de l’appel au boycott devrait
pourtant savoir que quarante lauréats du prix Nobel sont signataires d'une «
Déclaration des Prix Nobel en réponse à la campagne BDS d’appel au boycott
académique » dans laquelle ils indiquent :
« Convaincus que les appels au boycott, au désinvestissement et aux sanctions des institutions académiques et culturelles :
Vont à l’encontre des principes de liberté académique et scientifique
Contreviennent aux principes de liberté d’expression et de recherche
Sont susceptibles de constituer une discrimination en vertu de l’origine relative à un État nation
Nous soussignés, Lauréats du Prix Nobel, appelons les étudiants, les enseignants et administrateurs de facultés à vaincre et dénoncer les campagnes d’appels au boycott, au désinvestissement et aux sanctions à l’encontre des institutions académiques, universitaires ou affiliées à des centres de recherche et de formation israéliens. De plus, nous encourageons les étudiants, les enseignants et administrateurs de facultés à promouvoir et fournir des opportunités au débat académiques citoyen pour que les parties s’engagent vers une résolution des conflits et des problèmes plutôt que de servir d’incubateurs à la défiance polémique, la propagande et l’incitation à la haine.
« Convaincus que les appels au boycott, au désinvestissement et aux sanctions des institutions académiques et culturelles :
Vont à l’encontre des principes de liberté académique et scientifique
Contreviennent aux principes de liberté d’expression et de recherche
Sont susceptibles de constituer une discrimination en vertu de l’origine relative à un État nation
Nous soussignés, Lauréats du Prix Nobel, appelons les étudiants, les enseignants et administrateurs de facultés à vaincre et dénoncer les campagnes d’appels au boycott, au désinvestissement et aux sanctions à l’encontre des institutions académiques, universitaires ou affiliées à des centres de recherche et de formation israéliens. De plus, nous encourageons les étudiants, les enseignants et administrateurs de facultés à promouvoir et fournir des opportunités au débat académiques citoyen pour que les parties s’engagent vers une résolution des conflits et des problèmes plutôt que de servir d’incubateurs à la défiance polémique, la propagande et l’incitation à la haine.
Le Mouvement de la paix
qui appelle lui aussi au boycott illégal d’Israël et a manifester à Paris ou
retentirons les fameux « mort aux juifs » et les « mort aux
blancs » en juillet 2014. Le
Mouvement de la paix dans les Landes est représenté par monsieur Daniel
Salhorgne qui
n'en est pas à son coup d'essais lui aussi.
Déjà en Mai 2009 il était
question de ? Et bien de la QUESTION bien sur, cette question que tout
le monde se pose, mais à laquelle personne ne répond:
Mais revenons encore un instant à nos moutons de la haine rouge.
Ils font partie du European Network of Democratic Young Left
(ENDYL, soit Réseau européen de la jeune gauche démocratique (sic) et de
la Fédération mondiale de la jeunesse démocratique (sic) (FMJD).
Le MJCF, en tant qu'organisation autonome bidon, mènerait ses
propres campagnes exactement les mêmes que celles du PCF ou du Mrap. Voici une
liste succincte de quelques « campagnes » des dernières années,
organisées autour de trois axes :
Paix et solidarité
Contre la guerre, on ne dépose pas nos armes :
lancée début 2003 lors du mouvement contre la guerre en Irak, cette campagne
viserait à lutter contre la guerre et l'occupation et à développer les idées
pacifistes auprès de la jeunesse.
Libérez Marwan Barghouti : campagne pour la
libération de l'ex-député palestinien Marwan Barghouti, emprisonné en Israël
depuis 2002. Le MJCF, qui le considère comme un prisonnier politique, critique
vivement son procès, qu'il juge inéquitable ainsi que ses conditions de
détention.
Free Mumia ! : campagne pour la libération de Mumia
Abu-Jamal,(Wesley Cook) condamné à mort américain, qu'il estime
également victime d'un procès truqué. À travers ce « combat », le
MJCF entend mener une lutte plus large pour abolir la peine de mort partout
dans le monde.
Lutte contre les discriminations
Lutte anti-fasciste et contre l'extrême droite : le
MJCF édite régulièrement des tracts bolchos et des livrets « d'analyses »
marxistes des programmes d'extrême droite, notamment ceux du Front national. Il
va falloir maintenant sérieusement apprendre à « lutter » contre les
anarchos capitalistes les petits n’enfants bolchos !
Emploi, formation et lutte contre la précarité.
Un emploi ou une formation pour tous ? Je crois que ça
va pas être possible : c'est autour de ce slogan que le MJCF mène la
campagne pour l'instauration d'une sécurité d'emploi ou de formation, un large
projet de transformation sociale visant à dépasser le chômage et à garantir un
véritable droit à la formation tout au long de la vie. En fait de devenir tous
des assistés fonctionnaires communistes
Campagne contre la loi Fillon : le MJCF,
notamment à travers son réseau de mineurs lycéen, a activement participé au
mouvement lycéen du printemps 2005 contre la loi Fillon (réforme de l'enseignement
secondaire).
États généraux des lycées : initiative
et récupération lancée par le MJCF visant à organiser dans un maximum de lycées
en France des États généraux marxistes où les lycéens, qu'ils se soient engagés
ou non dans la campagne bolchévique contre la loi Fillon, puissent exprimer
leurs doléances sur le système actuel et leurs aspirations pour un meilleur
lycée.
Loi pour la Réussite dans l'Enseignement Supérieur : initiative
lancée par l'Union des étudiants communistes ayant pour but la réalisation
d'une loi proposant une véritable alternative au projet libéral pour
l'enseignement supérieur (que l'UEC analyse comme étant servi par les réformes
récentes (LMD) ou à venir : autonomie des universités). Elle passe par
l'élaboration d'un bilan et d'une plateforme de propositions avec les étudiants
et les autres associations étudiantes de gauche. Avec les cocos bolchos….tous
illettrés mais diplômés !
Dans l'actualité, le MJCF s'est particulièrement impliqué dans la
campagne de la gauche marxiste pour le « non » au referendum sur le
Traité établissant une Constitution pour l'Europe. En 2006, La JC est également
très impliquée dans la lutte contre le Contrat première embauche (CPE) et est
membre actif du "collectif jeune" contre le CPE. Elle participe
également au collectif Unis contre l'immigration jetable, où elle milite
contre le projet de loi relatif à l'immigration et à l'intégration de Nicolas
Sarkozy.
Lors de son dernier Congrès, qui s'est déroulé du 14 au 17
décembre 2006 à Ivry-sur-Seine, le MJCF a décidé d'orienter ses «
luttes » en fonction de quatre axes essentiels, dénommés "Quatre
chantiers pour changer nos vies et la société" : En fait quatre
chantiers (instrumentalisations des ressentiments pour attirer une
« clientèle » de sympathisants pour mettre en œuvre la dictature du
prolétariat sous l’égide de l’internationale socialiste ;
Précarités. Vivre ensemble. Monde. Savoirs/éducation
Le contenu de ces quatre chantiers ont conduit le MJCF, à
l'occasion d'un Conseil national de janvier 2007, à choisir de mener campagne
pour Marie George Buffet, candidate pour une « gauche populaire et
antilibérale » à l'élection présidentielle de 2007.
Un des quatre chantiers pour changer nos vies et la société
dans un camp de travail du goulag.
Organisation
Le MJCF est organisé au niveau local en groupes et en union
de ville(s). Les groupes regroupent les « jeunes » d'un même
quartier, d'un même établissement ou d'une même entreprise ; les unions de
ville(s) regroupent les adhérents d'une même ville ou d'un même groupement de
villes. Ces seconds sont les premiers lieux d'exercice de la
souveraineté : ils se dotent également d'une coordination locale. Dans
certains départements, les unions de ville(s) sont regroupées au sein d'une
fédération.
Au niveau national, le
lieu privilégié d'exercice de la « souveraineté » est le congrès,
qui se réunit tous les trois ans. Il élit un conseil national, organe
exécutif du mouvement, qui à son tour élit un secrétaire général. L'organe
souverain entre deux congrès est l'Assemblée nationale des animateurs,
composée de représentants de chaque département ou union de ville(s). Se
réunissant une fois par an minimum (depuis le congrès national de décembre 2006
auparavant il y en avait au minimum deux par an), convoquée par le conseil
national, elle fait le point sur l'activité et décide des campagnes et
initiatives nationales, dans le cadre des orientations décidées par le congrès.
Mouvement Politique d’Éducation populaire (M’PEP)
Association satellite du PCF.
Au sein du MJCF, les
étudiants communistes s'organisent dans l'Union des étudiants communistes, qui
dispose de ses propres institutions pour répondre aux spécificités du
militantisme dans l'enseignement supérieur.
Fondée pour la
première fois en 1939, puis dissoute après la guerre. Elle fut recréée en 1956,
en même temps que le MJCF. Son nom exact, tel qu'il figure longtemps sur les
cartes annuelles des adhérents, est Union des étudiants communistes de France. L’Union des étudiants communistes fait partie de
l'Union internationale des étudiants.Zombi vient par ici. |
La question à suivre………
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