jeudi 4 septembre 2014

La Question 10


Vous êtes juifs ? par KhoutspaTV



Nouveau Parti Anticapitaliste (NPA).


Attention; RDV tous devant le Tribunal de Grande Instance de Paris le 22 octobre 2014 pour faire condamner Alain Poujolat un antisémite du NPA !


Alain Poujolat du NPA doit être condamné!

A propos d’ Alain Pojolat, membre actif du Nouveau Parti Antisémite dit NPA un des organisateurs (Voir ici la liste des 50 "associations" de malfaiteurs antisémites ) de la manifestation antisémite et antiblancs du Samedi 26 juillet. Place de la République, à Paris, reçoit le mardi 29 juillet une convocation au tribunal après avoir été entendu par la police. Il sera jugé à Paris, le 22 octobre 2014, pour « avoir organisé une manifestation interdite sur la voie publique ». Un délit passible de… seulement six mois de prison et 7 500 euros d’amende pour ce récidiviste de la haine raciste.
Le camarade et activiste rouge Pojolat est le seul organisateur des récents rassemblements antisémites et antiblancs interdits à Paris à être convoqué devant le tribunal correctionnel, parce qu’il semble bien que l’apparatchik trotskiste avait déposé au nom de l’ensemble des 50 organisateurs La liste ici., la déclaration en préfecture des manifestations par la suite interdites (19 et 26 juillet), en revendiquant « fièrement » sa participation à ces rassemblements racistes.
Alain Pojolat risque gros, l’activiste d’ultra gauche de la haine marxiste culturelle est considéré comme un récidiviste en la matière puisqu’il a été récemment condamné à une amende avec sursis pour avoir organisé une autre manifestation non autorisée, celle-là aussi pour réclamer la libération du terroriste libanais… Georges Ibrahim Abdallah, le chef de la Fraction armée révolutionnaire libanaise (FARL), proche de Georges Habache, le leader du groupe terroriste marxiste le FPLP, assassin de deux diplomates : Charles R. Ray, attaché militaire américain à Paris (le 18 janvier 1982), et de Yacov Barsimentov, diplomate israélien (le 3 avril 1982).

Pojolat est né à Paris en 1948. Son père et sa mère étaient membre du Parti Communiste. Selon différentes sources et/ou son propre récit autobiographique, à 12 ans Alain Pojolat aurait été marqué par la manifestation organisée par la « gauche » le 8 février 1962. Source
Le 8 février 1962 à l'appel du Parti Socialiste Unifié et du Parti Communiste « Français », une manifestation de gauchistes pro FLN, sois disant pour la « paix » ( ?) en Algérie et contre l'OAS, avec les nervis des organisations syndicales  dite « de masse » avec la CGT, CFTC, UNEF, SGEN, FEN et SNI. Le fameux Mouvement de la « paix » est aussi associés à la manif organisée à Paris autour de la place de la Bastille et de la place de la République. Prévue depuis une semaine, le rassemblement est interdit par le président de la République lui même, Charles de Gaulle. (En 1962 De Gaulle assumait seul la politique générale du pays, mais aussi ses modalités pratiques et, plus particulièrement, l'interdiction des manifestations). Les CRS exaspéré par les pavés, grilles et autres cocktails Molotov que leur balance les « activistes communistes » et notamment les membres violents du GAR (Groupe d'action et de résistance) un « groupe » clandestin créé par le PSU qui prennent d'assaut des cars de police, ils chargent des manifestants qui s'engouffrent dans une bouche de métro fermée, la station Charonne. Huit personnes meurent accidentellement écrasées contre les grilles. On dénombre une centaine de blessés.
Les parents Pojolat des communistes convaincus participaient à cette manifestation haineuse et anti Française interdite (Décidément c’est une affaire de famille !). Employé à la BNP en 1967, Alain Pojolat milite d’abord à la Jeunesse Communiste Révolutionnaire (JCR) puis dans les comités Vietnam et à la Ligue Communiste (qui deviendra plus tard la LCR puis le NPA).

Il milite ensuite dans le groupe « Révolution ! » de 1973 à 1976. « Révolution ! » est une organisation (française) d’ultra gauche issue d’une scission au début de l’année 1971 de la Ligue communiste révolutionnaire (LCR). En 1976 « Révolution ! » fusionne avec la Gauche Ouvrière et Paysanne (GOP) qui est dirigée à l’époque par un certain… Alain Lipietz (futur député européen EELV). Mais, en 1976, Pojolat quitte « Révolution ! » Par la suite, après avoir été exclu de la CFDT, il participe avec Nathalie Ménigon à la création du collectif autonome de la BNP en 1976, ainsi qu’à Camarades

Nathalie Ménigon avait fondé en 1978, avec des camarades à elle, dont Jean-Marc Rouillan, l’organisation terroriste et criminelle communiste révolutionnaire Action directe. En septembre 1980, elle est arrêtée après avoir participé à une fusillade contre la police qui coûte la vie à un fonctionnaire de police, à l’occasion du cambriolage d’une banque parisienne.
Elle est libérée en septembre 1981 par une amnistie présidentielle de… François Mitterrand, tout en restant inculpée de tentative d’homicide sur des policiers. Elle rejoint d’autres militants d’Action directe dans la « clandestinité ».

En janvier 1985, après une longue série d’attentats terroristes communistes et d’actions violentes, elle participe à l’assassinat du général Audran, responsable des affaires internationales du ministère de la défense.
Le 17 novembre 1986, Nathalie Ménigon et Joëlle Aubron assassinent Georges Besse, PDG de Renault. Nathalie Ménigon a donc été plus qu’impliquée dans des actions terroristes revendiquées par le groupe Action directe et a été condamnée à la réclusion criminelle à perpétuité en 1989. Elle fut libérée en août 2008 après plus de 20 ans de prison.
Dans la presse, on dit de Pojolat qu’il aurait été plus que proche du groupe (terroriste) d’extrême gauche Action Directe. Dans des interviews, il rappelle qu’il a été membre du collectif NLPF (« Ne laissons pas faire »), le (fameux et très controversé) comité de soutien aux membres… d’Action directe emprisonnés.

Justement, le 26 mai 2010, dans un entretien qu’il accorde au site de « la brèche numérique », il répond à une question sur les assassinats immondes qui avaient été perpétrés par Action directe, notamment celui de Georges Besse. Georges Besse a été exécuté froidement en bas de son domicile, boulevard Edgar Quinet dans le 14e arrondissement de Paris, le 17 novembre 1986, par le groupe Action directe (commando Pierre Overney, du nom de l’activiste marxiste maoïste tué par un vigile de Renault).Groupuscule d’assassins marxistes comprenant  Joëlle Aubron, Nathalie Ménigon, Jean-Marc Rouillan et Georges Cipriani.
La réponse de Pojolat fait froid dans le dos et marque à quel point l’homme est littéralement obsédé par Action directe. C’est ainsi qu’il cherche ici à minimiser ou à excuser les assassinats qui ont été perpétrés froidement par sa camarade Nathalie Ménigon (en les plaçant dans une perspective historique).
« Question : Je pense à Georges Besse, innocent assassiné, et à bien d’autres, comment comptez-vous les ramener à la vie ?
Réponse de Pojolat : Arrêtons de traiter ce sujet comme si les faits s’étaient passés hier. 20 ans ont passé. Rappelons tout de même que Georges Besse était promoteur de plans de licenciements massifs chez Péchiney et chez Renault. Des milliers de salariés se sont retrouvés sur le carreau, certains tombant dans la dépression et l’alcoolisme et d’autres allant jusqu’au suicide.
Vous ne parlez pas du Général Audran, lui aussi exécuté par Action Directe et qui était le pourvoyeur d’armes à Saddam Hussein pendant la guerre Iran Irak. Combien de civils sont décédés à cause de ces ventes d’armes ? Comme vous voyez la question est plus compliquée qu’il n’y paraît et ce débat doit être dépassionné »

L’assassinat de Georges Besse ou du Général Audran ? Selon Alain Pojolat ce serait une question « compliquée » et un débat qui devrait être « dépassionné ».  Par contre, s’il y a bien un sujet qui ne sera jamais dépassionné chez les trotskystes… c’est bien l’antisémitisme.
Car, encore une fois, la forme d’antisionisme ( antisémitisme) la plus inquiétante et la plus abjecte se trouve parmi ceux des marxistes culturels La liste ici., qui considèrent Israël et les USA comme l’expression conjuguée du mal absolu sur la Terre.


Dit aussi Nouveau Parti Antisémite, l’ex Ligue Communiste Révolutionnaire (la fameuse et déjà raciste LCR de tendance Trotskiste) le NPA est aussi Islamophobe ! La preuve en image! Décidément, après l’anticapitalisme, l’antisémitisme et maintenant l’antimahométisme le NPA cumule dans la haine de l’autre.
Le 20/07/2014 le BNVCA demandait la dissolution du NPA et prévoyait de poursuivre en justice le NPA et les autres associations qui c’étaient mises hors la Loi et qui avaient fait l’apologie du terrorisme et provoqué des violences de nature antisémite :

 « Le 20 Juillet 2014. Le BNVCA condamne sans aucune équivoque et avec la plus grande sévérité le déferlement anti juif et anti israélien provoqué lors de manifestations interdites ou pas en soutien à l’organisation terroriste Hamas. Le BNVCA condamne le NPA pour son appel à la désobéissance civile encourageant les associations islamo palestiniennes à se rassembler pour braver les interdictions prononcées par les autorités afin de prévenir les troubles à l’ordre public et les attaques de synagogues. 

Le BNVCA constate que le climat insurrectionnel crée par ces mouvements factieux est de nature à semer la terreur anti juive en France comme le font les terroristes du Hamas qu’ils défendent. Le Hamas qui commet des crimes de guerre et des crimes contre l’humanité en bombardant les populations civiles d’Israël est une organisation terroriste et non un mouvement de résistance comme le prétendent le NPA et son président qui discriminent les citoyens israéliens et leurs enfants. En conséquence le BNVCA demande au Ministre de l’Intérieur et au Préfet de Police de Paris d’engager sans délai une procédure de dissolution du NPA et des associations qui se sont mises en hors la loi. Le BNVCA demande à ses Conseils de déposer plainte contre le NPA et son état-major pour appel à la désobéissance civile apologie du terrorisme et incitation à la haine et à la violence. Le BNVCA demande qu’une Commission d’enquête parlementaire soit constituée pour déterminer les responsabilités et les sanctions administratives et pénales qu’impose cette situation. Le BNVCA qui salue les forces de l’Ordre et le Préfet de Police de Paris exprime son inquiétude sur les risques de troubles à l’Ordre Public et les violences qui pourraient se produire à Sarcelles et Garges où un appel à manifester se répand malgré l’interdiction officielle décrétée par le Préfet du Val d’Oise ».

Organisation de Femmes Égalité.
Toute petite "association"  de femmes marxistes membres du Front de Gauche.

Parti Communiste des Ouvriers de France (PCOF)
Parti marxiste-léniniste anachronique et pro Albanais ; partie du très antisémite Front de Gauche. Plus con tu meurs ou tu te fait musulman ! ICI.
Le PCOF, qui a maintenant plus de 31 ans d’existence, est l’héritier du Parti communiste marxiste-léniniste de France, qui se crée à la suite du XX ème congrès du Parti communiste de l’Union Soviétique qui entérine la déstalinisation, c’est à dire :
« Cette première trahison de fond, inscrite dans le programme du PCF à son congrès de 1956, [qui] fut, on le sait, suivie par beaucoup d'autres : abandon de la dictature du prolétariat, du rôle dirigeant de la classe ouvrière, du centralisme démocratique… » 
 
Les attardés mentaux fondateurs du PCMLF rompent alors les « révisionnistes » du Parti communiste français :
« Nous ne pouvons que saluer la clairvoyance et le courage de ceux qui, dès 1956, ont mené la lutte en son sein et qui, en 1964, ont pris la décision difficile de rompre avec un parti qui avait définitivement trahi son engagement révolutionnaire. Ce sont ces communistes qui fondèrent, en décembre 1967, le PCMLF (Parti communiste marxiste- léniniste de France). Les militants qui sont à l'origine du PCOF sont leurs enfants, comme ils sont aussi ceux de mai 68. C'est à l'occasion de ce grand mouvement qu'ils se sont liés au mouvement communiste et ouvrier international alors que celui-ci venait d'opérer une rupture capitale et salutaire d'avec le révisionnisme khrouchtchévien. » 3

Le PCMLF suit alors le mouvement similaire qu’adoptent les communistes chinois, et leurs alliés (en Albanie, et en Asie). Il fera partie de la branche « hoxhaiste » (4)  pro albanaise du courant marxiste-léniniste (par opposition à sa branche « prochinoise »). Les Albanais, qui saluaient autrefois en Mao un « grand communiste », en font un « révisionniste » en 1979, profitant de la démaoïsation de la Chine pour assimiler Mao Zedong à Deng Xiaoping et Hua Gofeng, qui triomphent de la « bande des quatre » dont fait partie la veuve de Mao, et se rapprochent de l’Occident. Ils dénoncent alors la « théorie des trois mondes » :

« Cette manoeuvre allait bientôt être démasquée quand les dirigeants chinois accouchèrent de la "théorie des trois mondes" qu'ils tentèrent d'imposer aux partis marxistes-léninistes. Cette théorie, qui prônait l'alliance du tiers monde avec le second monde (les pays impérialistes d'Europe) contre les deux super-puissances, mais surtout contre le social-impérialisme (5) jugé par eux plus dangereux, fut combattue et rejetée pour ce qu'elle était, une théorie contre-révolutionnaire. En fait, cette trahison éhontée des intérêts de la classe ouvrière au profit de la grande puissance chinoise a permis de révéler des entorses plus anciennes à la théorie marxiste léniniste et sa déformation sur plusieurs questions fondamentales. » (6)
Une lutte interne s’engage alors au sein du PCMLF contre son chef, Jacques Jurquet, accusé d’être un partisan de la théorie des trois mondes. Les camarades « menèrent la lutte dans ses rangs jusqu'à la rupture inévitable de 1976, création de l'ORPCF (Organisation pour la reconstruction du Parti communiste de France), puis le 18 mars 1979, du PCOF (Parti Communiste des Ouvriers de France). »
Le PCOF entend :
  « [Lutter] pour la destruction complète du système d'exploitation de l'homme par l'homme et l'instauration du communisme à l'échelle mondiale. Le système socialiste qui résoudra la contradiction entre les forces productives et les rapports de production créera les conditions pour parvenir à la société communiste, société sans classe où sera appliqué le principe de chacun selon ses besoins... » et être un « instrument aux mains du prolétariat pour se libérer de l'exploitation capitaliste, briser la machine d'Etat bourgeoise, établir sa dictature et édifier le socialisme ».

Le plus surprenant, ce n’est pas qu’un parti marxiste-léniniste intransigeant, né de réactions successives contre le « révisionnisme » de l’URSS et du PCF, puis de la Chine Populaire, soutienne aujourd’hui le Front de Gauche (né principalement de l’alliance du Parti de Gauche et du... PCF !). Quiconque s’est un jour plongé dans l’étude des tribulations grotesques des groupuscules marxistes sait qu’elles relèvent davantage de la psychiatrie que d’une quelconque ligne politique cohérente. Ce qui parait étrange, c’est que Jean Luc Mélenchon, Pierre Laurent et les leurs aient accepté le soutien de ces hurluberlus, alors qu’eux même ne cessent de pratiquer la reductio ad hitlerum contre les membres de la droite nationale et nationaliste. Ce qui est encore plus étrange, c’est que pas un journaliste n’ait cru bon de faire un article là-dessus, alors qu’en ce moment même, ils c’étaient occupés à s’acharner sur Alexandre Gabriac, conseiller régional Rhône Alpes et plus jeune élu de France, victime d’un montage du ministère de l’Intérieur qu’il avait dénoncé dans un main courante dès avril 2010 (8). On appréciera, du reste, la réaction empreinte de lâcheté du Front national, qui se coucha devant le politiquement correct et suspendit immédiatement Gabriac, vociférant : « Il faut que chacun sache que le Front National n’admettra en son sein ce type de comportement inadmissible porteur d’une idéologie répugnante » (9)...

1. Communiqué du PCOF : http://www.pcof.net/fr/communiques/regionales_2010.htm
2. Communiqué du PCOF http://ddata.over-blog.com/xxxyyy/1/00/13/81/PCF/Cantonales/Position-PCOF-Cantonales-2011.pdf.
3. Communiqué du PCPO : http://www.pcof.net/fr/communiques/pcof_2008.htm
4. Nom dérivé d'Enver Hoxha, dictateur marxiste albanais (voir sa fiche wikipedia).
5. Définition du social-impérialisme sur wikipedia.
6. Communiqué du PCOf http://www.pcof.net/fr/communiques/pcof_2008.htm
7. Statuts du PCOF : http://www.pcof.net/fr/statuts.php
8. La photo de la plainte est disponible ici.
9. Communiqué du Front national : http://www.frontnational.com/?p=6703 .


Parti de Gauche (PG).
Le parti de « gauche » notoirement antisémite est la base du Front ou Fion de Gauche marxiste culturel antisémite et leurs groupes armés les antifas, c’est le refuge des junkies de la haine rouge, des mous du gland, des vieux apparatchiks du PCF moribond, des « jeunes » de 7 à 77 ans, des alcooliques, des fumeurs de pétards, des sniffeurs de coke, des vieux cons staliniens allah petite bitte, des avorteuses, des chimpacrouilles, des sidaïques, des pédophiles, des branleurs, des pédérastes à roulettes, des abrutiles distingués, des homosexuels, des zoophiles, des violeurs, des djihadistes, des broutes minous, des polygames, des sados masos, des nudistes verts à cul rouge, des fisteurs, des pues de la chatte, des goriratons à poil laineux, des paumés de la vie, des punks à chiens, des trous du cul communistes, des antichrétiens, des suceurs de babouches, des porcs islamistes, des arracheurs de sacs de vieilles dames, des pyromanes, des pollueurs, des tronc de figuiers, des pisses froid, des handicapés sociaux, des illettrés, des analphabètes, des cassos, des «nictamère» et des psychopathes.

Participation et Spiritualité Musulmanes (PSM)
Partie de la nébuleuse de la haine des frères musulmans instrumentalisés par les  islamomarxistes.
Leur site.
La culture musulmane ? Un grand vide sidéral !
PSM sur Fesse de Bouc

La question à suivre………

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